Ayant énormément apprécié le premier volet de « Theatrythm Final Fantasy » et ayant pu tester le 2ème volet rapidement à Japan Expo, j’étais assez impatiente de pouvoir jouer pour de bon au 2ème volet, « Theatrythm Final Fantasy : Curtain Call ». Bilan après plus de 15 heures de jeu, cet opus est aussi bon que le précédent, voire meilleur.
Plus de chansons.
Rien de nouveau au niveau du système de jeu en lui-même, pas grand chose. Il s’agit toujours de taper en rythme l’écran tactile en essayant de faire le plus de Critical possible pour faire le meilleur score. Petite nouveauté mais pas des moindres pour les joueurs qui voudraient avoir encore un écran de 3DS après le jeu : on peut à présent jouer aux gâchettes et à la croix directionnelle ou choisir un système de jeu incluant stylet et gâchettes pour ceux et celles qui n’arriveraient pas à se décider. Les phases de jeu sont toujours de 3 sortes : « Battle » avec 4 lignes à gérer (une par personnage), « Field » avec une seule ligne à suivre, ce qui finit par se révéler assez difficile en mode Ultimate et, quasiment absent de cet opus, le mode « Event Music» couplé à une vidéo, utilisé ici uniquement pour les jeux les plus récents. Le mode « introduction » et « conclusion » où il fallait tapoter le cristal plus ou moins en rythme juste pour augmenter le nombre de Ryhtmia a disparu, ce qui est plutôt une bonne chose étant donnée qu’il n’était pas très ludique.
Le catalogue de chanson est vaste et il est difficile d’en faire le tour : plus de 220 titres disponibles dont certains de Dissidia ou de Chocobo Tales et d’autres en version longue par rapport au précédent opus (on imagine que cela contient les DLC de l’opus précédent). Les notations vont jusqu’à SSS pour une chanson réussie avec toutes les notes parfaites. Il y a 3 niveaux : Basic (assez lent, peu de variété de touches), Expert (plus rapide, beaucoup de touches) et Ultimate (trèèèèèès rapide). Pour les vrais hardcore, il est possible d’ajouter le niveau « Ultimate debout dans la ligne 4 du métro parisien » (un des métros le plus brusque dans ses nombreux ralentissements et freinages).
Plus de personnages.
Les décors qui défilent durant les phases de jeu sont beaux, les personnages équivalents niveau design à l’épisode précédent et nombreux (même si malgré ça, certains restent réservés à l’achat en DLC). Comme dans le précédent opus, chacun a ses propres habiletés qu’il acquiert au fur et à mesure qu’il monte de niveau. Le côté RPG de ce jeu musical est ce qui en fait son intérêt : on voudra à tout prix monter le maximum de personnages au niveau 99. De plus, plus les habiletés des personnages et leur niveau sont élevés, plus il est facile dé gérer les chansons ou les niveaux difficiles.
Plus de modes.
En plus de cet ajout de chansons, 2 nouveaux modes de jeux viennent étoffer cette version dont l’un des plus attendus étaient sans doute le mode Versus : la plupart des personnages et chansons étant à débloquer, il vous faudra cependant jouer quelques chansons puis, une fois le mode Quest débloqué, en faire une avant de pouvoir y accéder. Vous pouvez à présent prouver votre dextérité en combattant un adversaire de votre choix, humain ou virtuel, en local ou par Internet, à une chanson en mode Battle. Mais attention, ici, un mode bonus aléatoire permet d’envoyer vers votre adversaire des petites joyeusetés comme les touches qui apparaissent au dernier moment, l’obligation de faire une note parfaite pour qu’elle soit validée, les flèches qui tournent sur elle-même ou les notes qui vont à toute vitesse… Inutile de vous dire que même en mode Basic, il faut avoir une bonne maitrise des chansons pour réussir à avoir le rang SSS.
L’autre nouveau mode vient remplacer les ensembles « Field-Battle-Event Music» proposé par jeux de la saga et la quête des joyaux, relativement dure, du précédent opus. Il s’agit du mode Quest : des niveaux de longueur variée vous menant à un boss, proposant des chansons plus ou moins dures en fonction de niveau de la quête, en mode Field et Battle et surtout, des objets et des joyaux (vous permettant de débloquer de nouveaux personnages) à gagner. Vous surprendrais-je vraiment en vous disant qu’il faut de longues (dizaines d’) heures et une très grande maitrise du jeu avant de voir ne serait-ce que le bout du nez de Sephiroth ?
Bilan
En bref, oui, cet opus ne révolutionne pas le précédent et est surtout une amélioration du précédent que ce soit dans sa durée ou sa variété. Mais c’est si plaisant de jouer avec ces personnages en mode chibi et les magnifiques compositions des jeux Final Fantasy. Même en n’étant pas fan des Final Fantasy, voire en ayant joué à aucun (ce qui est mon cas), vous apprécierez sûrement ce jeu musical qui est un des meilleurs de la console.
NDLR : La Rédaction tient à préciser que les photos de la galerie prises durant les niveaux proviennent du mode Démo du jeu.


A l’occasion de la sortie de The Scribbler (que nous vous avons présenté 

A l’approche des fêtes de fin d’année, Pathé édite une édition définitive numérotée de La Belle et la Bête de Christophe Gans, à découvrir dès le 1er Octobre. Cette édition contiendra, en plus d’un artbook (magnifique !!!) avec les dessins de François Baranger à l’origine de l’univers visuel du film, un DVD et un Blu-ray du film, ainsi qu’un blu-ray contenant plus de 5 heures de bonus inédits. Véritable objet de collection, cette édition définitive sera présentée dans un étui contenant un livre d’exception réalisé par François Baranger, et regroupant les dessins préparatoires de ce dernier. ( Disponible le 1er octobre 2014 – Prix du public conseillé : 59,99€ TTC )









Après être débarqué sur PC le 1er Avril dernier le jeu complètement barré de simulateur de chèvre arrive sur iOs … Nous avions testé la version PC et pensé coller ce jeu dans notre vitrine de la honte. Le jeu PC est bourré de bug, vilain, sans scénario, une ambiance sonore dont le seul intérêt est le bruitage de votre avatar, la surface de jeu est minuscule … Malgré tous ces défauts, le jeu est ultra fun parce que complètement débile et surtout totalement assumé par ses développeurs … Ces derniers d’ailleurs nous informe qu’il ne faut pas acheter ce jeu tellement il est rempli de bugs. Nous avons passé quelques soirées entre potes à torturer de la chèvre devant des pizzas 4 fromages et du coca … Bref, il est fun et donc n’a pas sa place parmi les jeux honteux. Bon voilà maintenant on a une version iOs et ça vaut quoi ? Bah c’est exactement la mêêêêêême chose … C’est vilain (mais moins que certains jeux bien moisis sur la plateforme), ça bêêêêle dans tous les sens, il y a des trucs cachés dans tous les sens dont je ne vous parlerai pas pour pas vous gâcher le fun, c’est pas cher (moins de 5 euros), et ça se joue bien … Bon ok, au clavier ou avec une manette, c’est plus simple à contrôler mais en fait j’ai trouvé les commandes assez faciles à prendre en main. Je vous laisse profiter de quelques captures d’écran, j’en ai choisi des bien belles ou la tête de la chèvre traverse une clôture … Si vous ne voyez pas l’intérêt d’un tel “simulateur”, prenez ça juste comme un bon gros délire de développeurs sous acides, si vous ne vous décidez pas tout de suite, n’hésitez pas à craquer si vous voyez une promo, c’est un jeu d’apéro pour soirée, pour les plus aventureux d’entre vous, je suis sûr qu’on peut inventer quelques jeux d’apéro avec ce jeu … (à consommer avec modération, l’abus d’alcool est dangereux pour la santé, bien entendu !!!)
Au Brésil, il y a le soleil, les strings et des développeurs exaltés comme Terri Vellmann. C’est sous ce nom de plume que notre compère créatif a couvé Heavy Bullets, un FPS procédural et un tantinet hallucinogène. Avec le concours de ces drôles d’oiseaux de Devolver Digital, Heavy Bullets sort de son nid sur Steam en version finale aujourd’hui. Lustré jusqu’à la moelle, Heavy Bullets s’offre des visuels vibrants, une mécanique sexy et une SOUNDTRACK™ signée par le musicien légendaire Doseone. Parce que la musique adoucit les meurtres, en voici un extrait : Armé d’un revolver super stylé qui crachote six balles boulottes, frayez-vous un chemin à travers un labyrinthe polychrome et planant. Générés aléatoirement, les niveaux sont truffés de créatures psychédéliques qui voleront en éclats sous le feu de vos tirs ravageurs. Votre mission est toute bête, il faudra activer les codes de sécurité des ordinateurs et mettre la main sur les trésors de guerre (balles, objets, soins…). Se déplacer trop prestement dans les couloirs dévorés par les néons aveuglants et Technicolors étant le meilleur moyen de se faire trouer la peau, vigilance est mère de sûreté. Depuis la phase d’accès anticipé du projet, Terri Vellmann et le musicien Doseone ont mis un point d’honneur à travailler avec la communauté. Après de nombreuses itérations, le graphisme, la courbe de progression, la synchronisation de la bande-son ont été améliorés. En guise de remerciements, ceux qui ont acheté Heavy Bullets en accès anticipé recevront une clef Steam en cadeau. Elle apparaîtra dans leur inventaire et les heureux élus pourront offrir le jeu à un ami. « L’accès anticipé a été une expérience utile et fantastique pour améliorer Heavy Bullets. MERCI à la communauté pour ses retours et son aide précieuse » termine Terri Vellmann. Heavy Bullets est disponible sur Steam, le Humble Store et d’autres crèmeries digitales. L’éditeur « surfait », Devolver Digital accordera une réduction de 15% pendant la semaine de lancement. Le jeu est disponible pour 7,49€. Oh Joies des largesses!
The scribbler débarque en VOD le 1er octobre et en DVD le 17 décembre. Il fait partie de ces films que l’on attend pas mais qui sont une très bonne surprise. Sur un film inspiré d’un comic book on peut soit attendre la super production calée aux petits oignons dans le genre Marvel ou un petit film dont les effets spéciaux sont à la ramasse (un peu comme Spawn que j’avais malgré tout adoré), bref, on s’attend soit à du propre et lisse soit à de l’indépendant … et là on a un peu les deux avec de bonnes surprises … 