[TEST] Vice-Versa, le jeu pour smartphone et tablette

Vice-Versa, c’est d’abord un excellent film d’animation que j’ai beaucoup apprécié (voir ma critique ici ). Mais c’est aussi, licence oblige, des jouets, des livres, des vêtements et bien entendu, des jeux vidéo. Le dernier en date, disponible sur tablette ou smartphone, est le freemium « Vice-Versa : Bulles souvenir ». Basé sur le concept d’un Bust-A-Move, vous devez à l’aide de bulles souvenir faire tomber toutes les bulles d’un niveau avec un nombre imparti de bulles : 3 bulles au moins de la même couleur côte à côte et celles-ci se détachent. Vous serez accompagné de Joie, Tristesse, Colère et, depuis peu, Dégoût qui vous aideront à l’aide de leur pouvoir spécifique pour arriver à vos fins. A chaque émotion est associée sa couleur : si vous détruisez assez de bulles jaunes, Joie pourra par exemple rendre spontanément jaune un petit nombre de bulles, idem pour le bleu avec Tristesse. A côté de ces bonus, vous avez d’autres bonus permettant d’avoir le choix entre 3 bulles au lieu de 1, d’avoir une allonge plus longue ou de modifier la couleur des bulles. Selon les niveaux, il y a différents buts : libérer tous les ouvriers en détruisant les bulles qui les retiennent prisonnier, éliminer toutes les bulles avant que le plafond qui les soutiennent ne soit totalement descendu… Bien sûr, le défi serait trop simple si les bulles souvenirs étaient toutes normales : les bulles souvenir vides ne peuvent pas être détruites, les bulles de glace gèlent spontanèment toutes les bulles et les bulles souvenir transparentes ne dévoilent leur couleur qu’une fois touchées. Si jamais vous n’avez pas pu finir le niveau avec le nombre de bulles qui vous a été attribué, vous avez la possibilité à l’aide de joyaux d’obtenir des bulles supplémentaires. Vous avez 5 vies par défaut et en perdez une à chaque niveau échoué. Pour en regagner, il faut soit gagner un nouveau niveau soit attendre 30 minutes que les 5 vies soient restaurés soit… vous vous en doutiez, payer.

Et c’est là qu’est le hic, propre à tous les freemium : tous les bonus demandent un paiement à l’aide de joyaux, « monnaie » que le jeu ne vous octroie quasiment jamais. Si certains niveaux, surtout les premiers, sont très faciles, ils sont espacés de niveaux difficiles qui vous demanderont soit beaucoup de vies pour les finir soit de se souvenir de la position des couleurs dans chaque niveau. Le nombre de bulles qui vous est attribué est génèralement proche de celui nécessaire pour finir le niveau et un mouvement raté peut faire échouer tout le niveau. De même, certains niveaux ne contenant que des bulles souvenir mystères (qui doivent être touchées pour dévoiler leur couleur), il faudra parfois apprendre par coeur la configuration, à force d’échecs, afin d’arriver à finir le niveau. C’est ce que je reproche au jeu. Patienter une demie-heure pour avoir 5 vies ne me dérange pas, de même que devoir revenir sur un niveau plusieurs fois avant d’arriver à le finir. Mais devoir apprendre par coeur toutes les couleurs du niveau comme c’est le cas pour le niveau 34 auquel je suis actuellement coincée n’est pas l’idée que je me fais de loisir, ce jeu étant l’exemple parfait d’application permettant de se distraire pendant les transports.

BILAN

Le jeu est bien en soi : le nombre de niveaux est élevé (actuellement 150), la jouabilité bonne, les bruitages et les voix des Emotions agréables et les défis assez variés pour ne pas être trop répétitifs. Mais ça reste un freemium qui essaiera surtout très vite de vous faire mettre la main au porte-monnaie pour pouvoir profiter complétement du jeu ou continuer à avancer.

Edit du 28/07/2015 : Depuis la mise à jour de fin juillet, le niveau de difficulté du niveau 34 a été abaissé et il est à nouveau possible d’avancer dans les niveaux.

Testé sur : systèmes IOS et Androïd

[SORTIE] Vice-Versa, le nouveau chef d’œuvre Disney/Pixar

Ce dimanche 31 mai 2015 avait lieu 2 évènements importants : la fête des mères; mais surtout l’avant-première au Grand Rex, situé à Paris, de Vice-Versa (Inside Out), le nouveau film d’animation de Disney/Pixar.

Prévu en sortie française le 17 juin 2015, ce film avait déjà bénéficié d’une pr2015-05-31 10.07.17ojection en V.O en avant-première au festival de Cannes, auquel étaient conviés John Lasseter lui-même mais aussi Pete Docter et les voix françaises : Charlotte Le Bon pour Joie, Gilles Lellouche pour Colère, Mélanie Laurent pour Dégoût, Pierre Niney pour Peur et Marilou Berry pour Tristesse.

Pour cette avant-première parisienne ouverte au public, le film était présenté en en exclusivité dans sa version française. Deux des voix françaises, Charlotte Le Bon (Joie) et et Marilou Berry (Tristesse), étaient présentes pour nous présenter le film, ce qui était une bonne surprise. Nous avons eu le droit en exclusivité au teaser du prochain Pixar, Le Voyage d’Arlo (les aventures d’un dinosaure et d’un jeune garçon) ainsi qu’au court métrage Lava qui sera présenté avant le film (pour ne pas en dire trop, une mignonne petite chanson autour d’un volcan).

Voici en quelques mots le scénario du film vice-Versa : « Au Quartier Général, le centre de contrôle situé dans la tête de la petite Riley, 11 ans, cinq Émotions sont au travail. À leur tête, Joie, débordante d’optimisme et de bonne humeur, veille à ce que Riley soit heureuse. […] Lorsque la famille de Riley emménage dans une grande ville, avec tout ce que cela peut avoir d’effrayant, les Émotions ont fort à faire pour guider la jeune fille durant cette difficile transition. Mais quand Joie et Tristesse se perdent accidentellement dans les recoins les plus éloignés de l’esprit de Riley, emportant avec elles certains souvenirs essentiels, Peur, Colère et Dégoût sont bien obligés de prendre le relais. » (J’ai coupé volontairement le résumé officiel car je pense qu’il en dit un peu trop.) Le spectateur suit donc deux histoires en parallèle dans le film : celles des émotions dans le cerveau de Riley et ce que cela engendre sur les réactions et les actions de Riley.

Concernant le film en lui-même, c’est une excellente surprise, un des meilleurs Pixar depuis Wall-E qui fait partie de mes préférés. Bien entendu, en tant que fan du studio depuis leur premier long-métrage, je suis loin d’être objective. Néanmoins, je considère qu’on retrouve dans ce film la double-lecture qui avait peu à peu disparu des récents Pixar : je pense par exemple à Monster University, même si je l’apprécie énormément. En effet, les enfants les plus jeunes y verront des personnages mignons et rigolos ainsi qu’un univers coloré et se reconnaitront dans le personnage de Riley, petite fille bouleversée pas son déménagement à San Fransisco. Quant aux adultes, ils seront sans doute plus sensibles au côté allégorique du film très bien maîtrisé. Pixar a représenté dans ce film tout ce qui modèle un être humain psychiquement : l’imagination, le stockage des données à plus ou moins longs termes, la création et l’entretien des centres d’intérêt, l’inconscient et même la création des rêves. C’est original et bien traité. Les situations vécues par Riley et les Emotions tout au long du film m’ont plusieurs fois fait penser à certaines situations que j’avais moi-même vécu.

Le character design des personnages permet de reconnaître très facilement les Emotions, présentes dans chaque être vivant (les scènes du générique de fin sont d’ailleurs hilarantes). Le travail des comédiens de doublage français est excellent, ils donnent vie aux personnages de manière formidable en s’appropriant parfaitement le caractère de chaque Emotion. J’avoue être assez impatiente de pouvoir comparer avec la version originale. Tristesse est par exemple désopilante dans sa dépression perpétuelle, Joie dans son positivisme exacerbé et le personnage de l’ami imaginaire est aussi bon dans son design que dans son interprétation vocale.

Niveau scénario, rien à redire : les péripéties, les rires, les pleurs, la morale, les petits caméo du prochain long-métrage de Pixar, tout est là. Niveau graphisme, le film d’animation est très beau et il est amusant de faire la comparaison avec le premier long-métrage d’animation du studio, Toy Story, pour voir le chemin parcouru.

En conclusion, oui, ce billet est rempli de superlatifs et d’adjectifs positifs, mais c’est parce que je pense sincérement que c’est un des meilleurs Pixar existants. Je ne peux que vous conseiller chaleureusement d’aller le voir, seul, avec des amis, vos enfants, votre chéri(e), les enfants des autres, votre chien, votre plante verte, votre pire ennemi(e) ou votre doudou, mais allez le voir si vous voulez passer un bon moment.

[AVIS] "Les nouveaux héros" de Disney

J’ai pu voir vendredi matin dans des conditions idéales (soit seule au milieu d’une salle de cinéma pour plusieurs centaines de personnes)  le dernier né de Disney « Les nouveaux héros » alias « Big Hero 6 ».

Comme la plupart des Disney, celui-ci est une adaptation, ici du comics Big Hero 6 des éditions Marvel,  : on comprend sans peine qu’il n’a pas été difficile d’obtenir les droits. Je n’ai jamais lu le comics mais, d’après ce que j’ai pu en lire rapidement, le film d’animation s’en inspire plus qu’autre chose.

L’action se situe dans la ville de San Fransokyo, mélange entre San Francisco et Tokyo. Le jeune Hiro Hamada, un génie de la robotique d’une quinzaine d’années, préfère faire des combats de robots plutôt que d’étudier, juste qu’à ce que son frère Tadashi le convainque de rejoindre son université. Malheureusement, suite à un évènement tragique, Hiro Hamada découvre qu’un complot se trame au sein de San Fransyoko. Avec l’aide de son plus proche ami, Baymax le robot infirmier, et de ses amis de l’université, d’autre génies, il va tenter de découvrir qui est derrière celui-ci.

Difficile de résumer le film sans trop en dire sur le scénario. Le scénario est de mon point de vue le point fort et le point faible du film : le point fort parce qu’il est bourré d’action, d’humour et de héros et fait que l’on ne voit pas passer les 1h40 du film, le point faible parce qu’il n’évite pas les écueils habituels des films Disney (montée et chute du héros, réussite du héros grâce à l’amitié, etc) quitte à user de légères invraisemblances pour que la fin corresponde à ces critères.

Si l’on passe sur cet aspect parfois trop conventionnel, ce film d’animation est très bon . Chaque personnage a sa propre personnalité, que le doublage français met très bien en valeur. Baymax, avec son côté guimauve et ses maladresses, est attachant et on voudrait tous en avoir un comme ça chez nous.

Les décors de San Fransokyo sont fouillés, bourrés de détails et absolument magnifiques, surtout de par le côté estampes et japon traditionnel qui côtoie tout au long du film l’urbanisme américain plus classique. Le mélange, assez inattendu, est de toute beauté. Mais cette remarque est aussi valable pour les lieux comme la chambre de Hiro ou celle de Fred : on ne sait plus où donner du regard et l’édition Blu-Ray ne sera pas de trop pour pouvoir voir tous les éléments de ces pièces. Disney en profite d’ailleurs pour y glisser les habituels oeufs de Pâques : Stan Lee est assez facile à trouver, mais il y en a bien d’autres qui m’ont échappé et qui sont déjà recensés sur d’autres sites.

La mise en scène et les effets de caméra sont très prenants, surtout lors des scènes de vol qui donnent très bien sur grand écran. La réalisation est dynamique et sans temps mort.

Bref, Les Nouveaux Héros est un divertissement plus qu’honnête qui devraient ravir tous les amateurs de robotique ou de super-héros de par son histoire. Restez bien jusqu’à la fin du générique, surtout !

[NEWS] EXPLOREZ L'ÎLE OEUF A DOS DE DINO DANS YOSHI'S NEW ISLAND, DES LE 14 MARS SUR NINTENDO 3DS

nfr_cdp_yoshis_new_island.003Embarquez pour un voyage bucolique en compagnie de Bébé Mario et du clan Yoshi ! Votre quête : retrouver Bébé Luigi !

Une aventure faite d’attaques Rodéo, de sauts prolongés, d’ennemis à avaler et à transformer en œufs, vous attend dans Yoshi’s New Island, le dernier volet de la série des jeux Yoshi,  disponible surconsoles Nintendo 3DS et Nintendo 2DS le 14 mars 2014. Dans cette aventure bucolique, où vous découvrirez le charme de l’univers Yoshi à travers une multitude de styles artistiques différents, vous pourrezgober ou écrabouiller vos ennemis, grands ou petits, pour aider Bébé Mario à retrouver son frère !

Yoshi’s New Island fait suite à l’épisode de Super Mario World 2: Yoshi’s Island, paru sur console Super Nintendo. L’action se déroule cette fois sur une nouvelle île : l’Île Oeuf. Dans ce nouveau chapitre de la série,Bébé Luigi a été enlevé et c’est à Yoshi de protéger Bébé Mario face à mille dangers, au fil d’un périple qui va les emmener de découvertes en découvertes.

Les fans de Yoshi qui précommandent un exemplaire de Yoshi’s New Island avant la sortie officielle du jeu, pourront recevoir un petit « egg-stra » : un étui en forme d’œuf* bien pratique pour ranger ses meilleurs jeuxNintendo 3DS et petits objets favoris. Que vous ayez suivi les aventures de Yoshi depuis Super Mario World 2:Yoshi’s Island, ou que vous découvriez pour la première fois les escapades du clan Yoshi, préparez-vous pour un périple bucolique ! Yoshi’s New Island débarque en exclusivité sur consoles Nintendo 3DS et Nintendo 2DS le14 mars !

[INSOLITE] Pourquoi Animal Crossing n’est PAS la vraie vie

Comme vous avez pu le comprendre si vous en avez lu le test, je fais partie de ces gens bizarrement accro à Animal Crossing et capables de passer 45 minutes par jour à arroser des fleurs virtuelles qui finiront de toutes façons par sécher sans raison apparente (bande d’ingrates). Mais une chose est sûre,  s’il est fréquent au bout de trop d’heures de jeu de vouloir sortir son filet à papillon pour en attraper un dans la vraie vie, les 2 ont beaucoup trop de différences pour réellement les confondre. La preuve avec ce comparatif de ce que vous pourriez dire à vos enfants

« On est en hiver, il fait froid, couvre-toi »

On est en hiver, il neige dans le jeu, mes administrés se promènent en tee-shirt à manches courtes et sans pantalon ni chaussures, tout va bien.

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« Voler les gens, c’est mal »

Prendre dans les objets perdus des objets qui ne vous appartenaient pas, ce n’est pas grave. Elle est belle, la morale, tiens. On parle de GTA mais Animal Crossing , ce n’est parfois pas mieux.

« Maltraiter les gens, c’est mal »

Certes, c’était sans faire exprès mais il m’est déjà arrivée d’arroser les pieds ou de frapper avec la pelle ou le filet mes administrés et après m’avoir évité, ils ont continué à me sourire en se dandinant. Poussez-les pour passer et ils ne vous diront rien. Dans la vraie vie, ils vous auraient déjà hurlé dessus (sauf dans le métro parisien, et encore).

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« L’argent ne pousse pas sur les arbres »

L’argent pousse sur les arbres. Avec les outils adaptés, il y a moyen de faire pousser un arbre à clochettes soit un arbre qui donne de l’argent au lieu de fruits. Sinon, il suffit de secouer un arbre et parfois, 100 clochettes en tombe. Parfois ce sont d’autres objets comme un papier-peint, un micro-ondes… « Je ne comprend pas : j’étais sur le chemin pour aller au travail, j’ai tapé dans un arbre par inadvertance avec ma sacoche et un micro-ondes m’est tombé sur la tête. ».

« Ne tape pas dans les pierres, tu vas te faire mal »

Tapez dans les rochers avec votre pelle, vous risquez de trouver des pièces, des sacs de pièces et même des joyaux déjà taillés comme des rubis, des saphirs, de l’argent, de l’or…

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« Les cadeaux ne tombent pas du ciel « 

Oh, des ballons qui flottent avec un cadeau attaché ! Vite, mon lance-pierre.

 » Il faut respecter l’écosystème »

Pêchez autant de poissons que vous voulez, ils sont en quantité illimité. Idem pour les insectes lorsque c’est la bonne saison.

« Ne pêche pas la baleine, c’est un animal protégé. De toutes façons, il te faudrait des outils adaptés comme des harpons »

Une canne à pêche normale suffit et vous pouvez parfois en pêcher 8 par soir.

 » Il faut respecter les proportions : un carré ne rentre pas dans un rond »

La baleine citée ci-dessus fait seulement le double de la taille d’un humain lorsqu’on la pêche et à peine le triple de la taille d’un bar. Et les flocons de neige font la taille de ma main.

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« Le sac de Mary Poppins, c’est de la fiction »

Dans mon sac, qui n’est même pas sur mon dos d’ailleurs (ou alors, il est invisible), j’ai une pelle, un filet, un lance-pierre, un arrosoir à réserve d’eau illimité, 9 pommes, un buffet, une baleine (oui, j’aime beaucoup les baleines), etc.

D’ailleurs, mes administrés arrivent à voir ce que j’ai dans mon sac à dos invisible puisqu’ils demandent parfois à me racheter un des objets ou des poissons que je viens d’avoir. Pas forcément idéal pour les surprises : «  – Oh, mon chéri, c’est une bague de fiançailles ? « 

 » La loi de l’offre et la demande fait varier les prix »

Ramenez 25 poulpes à Risette, la boutique d’occasion, et elle vous en offrira toujours le même prix. Par ailleurs, elle vous rachète quasiment tout, à se demander où elle met tout ça.

 » Devenir propriétaire est devenu impossible »

Au bout de 6 mois de jeu, j’ai une maison énorme avec 4 pièces au rez-de-chaussée, un étage et un sous-sol. Et encore, je n’ai pas fini d’agrandir toutes les pièces annexes.

 » La peau de la banane ne se mange pas. »

Offrez une banane à vos administrés et ils la mangeront complètement. Pareil pour les pommes (trognon et queue compris) ou pire, les noix de coco. Les emèdes de chez Méli et Mélo doivent partir comme des petits pains avec les problèmes de digestion que ça doit entraîner.

 » Il faut faire attention à la planète et ne pas polluer « 

Dans ma ville, il y a mes administrés et moi, sauf dans la zone commerciale où certains de mes anciens habitants viennent zoner et dans le camping où des personnes d’autres villes viennent s’installer pour une journée (mais ce dernier est un ajout assez récent). Donc quand je récupère des chaussures ou des pneus lorsque je pêche, c’est que soit mes administrés soit les gens des autres villes sont des gros pollueurs. Je ne savais pas que j’étais limitrophe de Paris (mauvaise expérience du métro parisien, désolée).

 » Les fleurs, c’est fragile « 

Si tu cours dedans, oui. Sinon, tu peux faire rouler une boule de neige aussi grande que toi, elles s’en fichent. Idem quand mes administrés marchent allégrement dedans. Elles ont une forme d’invulnérabilité partielle bien à elles.

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 » Le sens du bon goût, c’est important « 

Certaines des recettes de ce que boivent mes administrés me font peur : par exemple, un milkshake au cerfeuil ou du jus d’épinard. Bon, j’invente, mais on n’est pas loin. Et pour embellir la ville et qu’elle soit un peu plus à la mode, ils leur arrive de me proposer les projets d’une montagne de pneu, d’un empilement de tuyaux ou d’une poubelle…

 » Aie un peu de bon sens, voyons « 

Proposer l’installation d’un hamac en plein hiver ou d’un feu piéton alors qu’il n’y a ni route ni voiture ne les choque pas. Leur propos aussi est parfois quelque peu incohérents.

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 » C’est ton anniversaire, souffle les bougies de ton gâteau « 

Pour le coup, ça c’est pareil ! Il faut souffler dans le micro de la 3DS pour souffler les bougies. Dans le RER en heures de pointe, vous n’avez pas l’air bête, tiens.

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Je pourrais aussi dire que dans la vraie vie :

– quand on tape du pied dans une petite boule de neige, elle explose, elle ne devient pas un peu plus grande

– les boules de neige qui font une taille humaine ne disparaissent pas parce que l’on a discuté avec un habitant pendant qu’on les poussait. Elles ne disparaissent pas non plus en l’espace de 10 minutes parce qu’on a mis trop de temps à rapporter la seconde et encore moins pour réapparaitre plus petite à l’autre bout de la ville.

– vos voisins ne passent pas leur temps à vous interpeller pour vous demander de leur pêcher quelque chose, leur ramener un fruit, vous vendre un truc ou leur confirmer que leur salutation ou leur ponctuation de fin de phrase sont bien… Ils ne s’invitent pas non plus chez vous dès que vous y restez plus de 2 minutes. Même quand vous êtes au milieu de l’océan et que vous pensez être tranquille, Pascal surgit derrière vous dès que vous avez pêché un pétoncle pour vous le racketter ! Mes administrés sont des stalkers ! Non mais regardez, je vous assure que ça fait peur, la première fois ! *musique des Dents de la Mer*

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– il n’y a pas de micro-climat au dessus des îles qui fait qu’il y fait beau et chaud toute l’année

Bref, autant de petites choses qui font que non, même s’il y ressemble un peu, Animal Crossing, ce n’est définitivement pas la vraie vie. Finalement, c’est peut-être ça, sa force. Allez, je retourne arroser des fleurs et construire des bonhommes de neige.

 

[TEST] Snoopy Coaster

2013-10-23 17.42.31Nous avions déjà testé voilà plus d’un an un petit jeu nommé Mad Coaster (https://www.clem2k.com/2012/07/22/mad-coaster-sur-ios/ ). J’ai découvert récemment par hasard qu’il existe un jeu équivalent, produit aussi par Chillingo, basé en plus sur l’univers de Snoopy : Snoopy Coaster. Disponible aussi sur iOS, le jeu permet d’effectuer les mêmes choses que son prédécesseur mais dans un univers tiré de la bande dessinée et des films d’animation. Alors, que vaut-il ?

Tout comme l’original, vous dirigez une montagne russe du bout du doigt : appuyer une fois sur l’écran permet de faire sauter le wagon ou de le faire monter lorsque vous possèdez le bonus de vol, monter rapidement le doigt permet de faire aller le wagon sur un niveau supérieur et, nouveauté, le faire tourner en rond dans un looping permet de refaire plusieurs fois la boucle avant de continuer son chemin. Le but est de récupérer le plus de pièces et d’aller le plus loin possible.

Côté points positifs, le jeu amène de nouvelles fonctionnalités et mode de jeu. Vous naviguez dans des univers inspiré de Snoopy au son de la série, vos wagons étant composés des personnages cultes qui ne manqueront pas de vous interpeller de temps à autres.Outre le niveau bonus où votre wagon vole et il faut gérer sa descente et sa montée, il existe un nouveau niveau bonus dans lequel vous devez diriger votre wagon tout en veillant à que les cerf-volants qui vous supportent ne soient pas avalés par les arbres mangeurs de cerf-volants. Dommage que ce ne soit pas expliqué et qu’il faille le deviner. Des pièces sont à présent mises en hauteur et accessibles uniquement lorsque vous avez le mode vol, ajoutant un nouveau challenge. A la fin de votre partie, le jeu vous note par rapport à vos performances de sauts parfaits, nombre de loopings effectués, nombre de pièces récupérées et autres critères sur une note allant de A à E, ce qui pousse sérieusement le joueur à essayer de s’améliorer.

Sont aussi ajoutés des élements bonus genre cartes à collectionner apparaissant aléatoirement dans le niveau, ajoutant une autre dimension au jeu. Les bonus de jeu sont sous forme d’éléments clés liés aux personnages : serviette de Linus, casque de foot américain… Les saisir vous permettra de devenir invulnérable, d’aller plus vite, de récupérer plus de pièces, et change l’apparence du personnage le temps du bonus. Chaque personnage passera d’ailleurs son temps à vous les réclamer. On peut aussi entrer en interaction avec les personnages : faire en boucle un même looping provoque chez Charlie Brown une belle teinte verdâtre et Lucy ne manque pas de vous rappeler à l’ordre si vous tardez trop à récupérer des pièces .

Ce jeu serait très bien pour les fans de Snoopy comme les personnes appréciant l’original s’il n’y avait pas quelques points noirs. Que les voix soient en anglais n’est pas le plus gênant : les personnages répétant souvent les mêmes phrases, elles deviennent fatiguantes à la longue. Par ailleurs, le studio a conservé les bruitages originaux des poissons et des oiseaux pour les cerf-volants et les ballons qui explosent ainsi que les mêmes cris au démarrage de chaque niveau qui ne vont pas du tout avec l’univers. Enfin, si globalement les niveaux semblent plus faciles que sur l’original, il est difficile de gérer les sauts passé un certain niveau, les wagons allant trop vite et les pistes sur lesquelles atterrir étant visibles trop tard. Cela entraîne des morts frustrantes pour le joueur.

En bref, un jeu sympathique pour s’occuper dans les transports ou lors de courts trajets, du fait de son univers comme de son système de jeu mais qui souffre hélas d’un défaut de manque de visibilité passé un certain stade que ne possède pas l’original et qui gâche un peu le plaisir de jouer.

[TEST] Animal Crossing New Leaf : le jeu qui vous fait oublier la vraie vie (test de Winry26)

Animal Crossing est un jeu qu’en gros, on aime ou on n’aime pas.
Globalement, c’est un jeu de gestion où il n’y a pas grand chose à faire :
– cueillir des fruits et des fleurs pour les revendre
– attraper des insectes (à donner au musée ou revendre)
– pêcher des poissons (à donner au musée ou revendre)
– décorer sa maison avec des accessoires achetés à la supérette ou gagnés lors de missions effectuées auprès des habitants
– habiller son avatar avec des vêtements et accessoires acquis de la même façon
– déterrer des fossiles (à donner au musée ou revendre)
– payer l’emprunt de sa maison et l’agrandir dès que possible (d’où l’intérêt des tâches ci-dessus)
En fait, la recette n’a pas vraiment changé depuis le jeu sur DS de 2006. Petite nouveauté de cette version : je suis maire ! Winry, maire de la charmante ville d’Abazut, peut donc voter contre de menues clochettes des arrêtés permettant de vendre ses objets au meilleur prix, d’obliger les boutiques et les habitants à se lever plus tôt ou au contraire à se coucher plus tard (pratique quand on fait cela le matin en partant à 7h00 au boulot). De même, elle choisit où elle va installer de nouvelles infrastructures :  pont,  bâtiments , bancs, etc. Niveau amélioration, le système de jeu en réseau est assez aisé à utiliser et l’île de Tortimer, l’ancien maire parti à la retraite, permet de jouer seul ou à plusieurs à des mini-jeux dans un univers toujours ensoleillé , contrairement à la ville dans laquelle il fait parfois un temps bien pourri genre pluie qui tombe à verse.
Les magasins aparaissent et s’agrandisent en fonction de notre avancée.
Parfois, des insectes kamikaze se jetteront à l’eau pour éviter que vous ne les attrapiez. Je ne suis pas certaine qu’ils sachent nager.

C’est là toute la magie (ou la sorcellerie, je ne sais pas vraiment) de ce jeu. Peu de choses à faire et pourtant , il devient vite chronophage et addictif. En moins de temps qu’il ne le fallait pour le dire, je suis retombée dedans au point de vider la maigre batterie de ma 3DS en 2 voyages de RER.

Je ne vais pas faire un article poussé sur Animal Crossing, les systèmes de jeu ayant déjà été décrits de nombreuses fois depuis la sortie du jeu. Je n’avais pas touché à Animal Crossing depuis des années et j’ai vite repris mes habitudes : parler aux habitants et essayer de contenter leurs désirs (et parfois rire intérieurement de leurs remarques, j’en ai d’ailleurs mises quelques unes dans la galerie ci-dessous), veiller à la santé des fleurs et des arbres, faire du shopping, aller danser au son de Kéké qui fait en plus discothèque.

Globalement, j’aime beaucoup cet animal Crossing qui comme à chaque fois, me fait oublier qu’il y a une vraie vie et dans lequel je passe une heure à cueillir des fruits et à les revendre. Mais ATTENTION: essayer Animal Crossing, si vous n’avez jamais encore essayé, revient à prendre le risque de vouloir dans la vie réelle sortir un filet d’un sac à dos invisible pour attraper le papillon sur la vitre de l’arrêt de bus ou une pelle pour creuser dans la petite faille du chemin que vous empruntez pour rentrer chez vous, ou encore essayer de changer de vêtements quasiment juste en claquant des doigts. Oui, Animal Crossing New Leaf, c’est une seconde vie en plus de la vôtre. Après, si vous en avez le temps, je vous conseille grandement de vous y jeter.

[NEWS] DECOUVREZ UN PERIPLE DEJANTE ENTRE REVES ET REALITE DANS MARIO & LUIGI: DREAM TEAM BROS.

Le quatrième épisode de la célèbre série de jeux d’Action RPG Mario & Luigi sort demain !

L’heure est venue de retrouver les célèbres frères et les pouvoirs d’OniLuigi : dès demain, vendredi 12 juillet, Mario & Luigi: Dream Team Bros. sortira sur la gamme de consoles Nintendo 3DS !
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Dans ce quatrième épisode de la série de jeux d’Action RPG Mario & Luigi, la Princesse Peach, Mario, Luigi et toute la cour du château, sont invités à passer les vacances sur l’île Koussinos. Hélas, peu après leur arrivée, la princesse Peach se fait enlever dans un monde onirique par Antasma, le roi chauve-souris fantomatique ! A vous d’incarner Mario et Luigi, le duo rouge et vert, pour explorer les rêves de Luigi et sauver une nouvelle fois la princesse !
 
Au cœur du Monde Onirique, de nombreux Koussinos ont été enfermés par Antasma dans les fragments de la Pierre des Ténèbres et Luigi doit les utiliser comme oreillers pour les sauver et progresser dans l’histoire. Les choses se compliquent lorsqu’Antasma est rejoint par Bowser en personne. À eux deux, ils forment une alliance malfaisante visant à trouver un artefact mystique : la Pierre des Rêves. Celle-ci donne le pouvoir de conquérir le monde ! Pour les arrêter, Mario et Luigi devront parcourir l’immensité du monde réel de l’île Koussinos ainsi que les recoins les plus secrets des rêves de Luigi.
 
Contrôlez l’intrépide Mario et le distrait Luigi pour associer leurs talents dans des aventures déjantées ! Mario devra se frayer un chemin dans les rêves de Luigi pour retrouver la princesse, mais il ne sera pas seul ! Oniluigi, l’incarnation du plombier vert dans le monde onirique, aidera Mario à franchir tous les obstacles en se transformant par exemple en arbre ou en tornade.
Combinez les attaques de Mario et Luigi pour lancer des carapaces dévastatrices, ou utilisez le gyroscope pour diriger une balle constituée de Luigi et ainsi écraser vos adversaires ! Appuyez sur les boutons au bon moment pour faire des combos supplémentaires et voir les deux frères démultiplier leurs attaques ! Chaque monde offre des possibilités inédites.
 
Affrontez l’alliance maléfique de Bowser et d’Antasma et aidez Mario et Luigi à contrer leurs plans diaboliques dès le lancement de Mario & Luigi: Dream Team Bros, disponible vendredi 12 juillet sur les consoles Nintendo 3DS et Nintendo 3DSXL. Lancez-vous dans un périple déjanté entre rêves et réalité !
 

[TEST] Pet Society

Aujourd’hui, je veux vous présenter un jeu social de Playfish, racheté en 2009 par Electronic Arts : Pet Society.

Vous créez dans ce jeu un avatar qui gagne des rangs et des cadeaux au fur et à mesure que  vous
–  le nourrissez,
– le lavez,
– allez visiter d’autres amis Facebook (ajoutés automatiquement dès lors qu’ils sont dans votre liste d’amis et possèdent un avatar dans le jeu),
–  jouez avec lui à la corde à sauter,
– faites des courses dans le stade avec d’autres avatars choisis aléatoirement,
– pêchez dans le lac
– achetez des vêtements, des décors, du mobilier
-déposez des cadeaux chez les amis

– cueillez des fruits et des légumes que vous faites pousser dans vos jardins et qui peuvent être de petite à grande taille en fonction de combien de temps vous les laissez pousser

Vous gagnez de l’argent dans le jeu en visitant les amis, effectuant des courses, passant un niveau ou à chaque connection. Il existe en parallèle des éléments achetables avec des billets, monnaie ne pouvant être acquise que par de l’argent physique, comme dans la plupart de ces jeux.
Chaque semaine, il y avait un nouveau thème Parfois, il était lié à l’actualité : Noël, Pâques, Nouvel An, la fête des Morts Mexicaines, etc. D’autres fois, il était lié à des univers spécifiques, certains très proches d’univers sous licence mais avec d’autres noms : chasseurs de dragons, oiseaux, New Age, Rock n’Roll, films Disney, pirates, sous la mer, etc. Je vous invite à aller voir la galerie photo pour avoir un petit aperçu de ce que cela pouvait donner une fois acquis la majorité des élements ne requérant pas de billets.

Bref, pet Society est un jeu social classique qui privilégie une connection journalière par des bonus dont des billets offerts au bout de 5 jours continus de connection. Que de jours passés à accumuler des billets pour pouvoir acheter un compagnon à mon personnage… Il est en effet possible d’acheter des animaux à votre avatar, la plupart ne pouvant être acheté qu’avc cette fameuse monnaie : griffon, licorne, chat, chien, lapin, chien électronique, extraterrestre, etc. Si vous ne les nourrissez pas assez fréquemment, ils fuguent et il faut alors demander à des amis Pet Society de les ramener ou payer 250 pièces par animal.

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Sur la photo ci-dessus se trouvent mon avatar Winry, entourés de ses familiers obtenus au fil des années :
– En haut de gauche à droite : Caleb, Freya, Alphonse / Hyppolite, Winry, Kawai / Beast, Simba
– En bas de gauche à droite : Trueman, Donkey,Rex, Jojo, Drago, Rainbow Dash, Belicus, White Will
Si je fais cet article, ce n’est pas pour vous inciter à jouer à ce jeu bien qu’il soit plus que sympathique si vous aimez ce genre de jeu de gestion simplifié basé sur le social et très proche d’un Animal Crossing. Non, je fais cet article parce que les serveurs du jeu seront fermés le 14 juin 2013. Avec eux disparaîtront mon avatar dont je me suis tant occupée depuis 3 ans et demi, ses familiers, tous ses biens (nourriture, peluches, mobilier, plantes, habits, éléments de décor) entassés depuis toutes ces années…
Son existence de pixels sera bientôt effacée corps et bien. Cet article est une façon de lui rendre hommage.
Retaillage 1Winry, « née » le 6 novembre 2009.
« Morte » le 14 juin 2013.

[TEST] My Little Pony : les amies, c’est magique

Lorsque j’ai vu en application gratuite un jeu « My Little Pony : les amies, c’est magique » (Gameloft et Hasbro Gaming, disponible  sur Androïd ou iOS), il fallait que je voie par moi-même ce que pouvait donner cette application.

Le jeu est basé sur la nouvelle série de My Little Pony. Le synopsis est le suivant :  la méchante Nightmare Moon (très classe au demeurant) a envahi le royaume de Ponyland de ténèbres. Twilight Sparkle (rien à voir avec les livres, hein, ne vous inquiétez pas) doit faire revenir ses amis poneys et licornes afin qu’ils l’aident à nettoyer Ponyland et à faire revenir la lumière dans tout le royaume.

La petite vidéo d’introduction sous forme d’images fixes est assez jolie. A l’instar des Simpson Tapped Out (ou « Simpson Springfield » sous notre latitude), le jeu fait appel aux voix originales de la série et est sous-titré lors des moments parlés. Cela peut être une difficulté pour les plus jeunes.

L’écran de chargement et l’univers du jeu est  très coloré, à l’image de la série. Sans casser 5 pattes à un poney, les graphismes sont jolis, les poneys étant modélisés en 3D et les décors en 2D avec scrolling sur l’horizon. Le jeu est assez vivant : on voit passer des lapins et des oiseaux dans la forêt, les poneys interagissent entre eux sans intervention du joueur.

Bien qu’indiqué « jeu d’aventure » dans le descriptif, MLP est un jeu de gestion simplifié comme c’est la mode actuellement (pour ne citer qu’eux : « Les Schtroumpfs », « Skylanders, Lost islands »), un type de jeu toujours agréable qui permet de se détendre une dizaine de minutes et dont je fais partie des utilisatrices. Pour récupérer les poneys disparus, il va falloir construire leur maison, tout en achetant des parcelles de terrain afin de les libérer de l’obscurité et pouvoir placer habitations et boutiques.

Vous gagnez de l’argent en plaçant des stands de jeu ou de nourriture dans lesquels un ou plusieurs poneys peuvent travailler et gagner une somme plus ou moins grosse en fonction du temps nécessaire. Vous gagnez aussi pièces et joyaux à chaque niveau passé ou en remplissant les conditions de quêtes aléatoires (construire des stands, récupérer une certaine somme d’argent ou de cristaux, etc).

A côté de cela, des mini-jeux  (balle, ramassage de pommes) vous permettront de monter le niveau de chaque poney. J’émet un bémol pour le jeu de balle pour lequel, après une trentaine de tentatives et en s’y mettant à deux, nous n’avons toujours pas compris à quel moment il fallait appuyer pour effectuer le bon lancer. En fonction des résultats, une étoile se remplit plus ou moins. Lorsqu’elle est remplie, cela donne accès à un mini-jeu dans lequel il faut faire voler le poney  pour lui faire récupérer le plus de pièces possibles en lui faisant éviter les nuages orageux. Les mini-jeux nécessitent des pièces (argent du jeu) ou des joyaux (plus rares et pouvant s’acquérir avec des micro-paiements) et il faudra par conséquent parfois choisir entre récolter assez d’argent pour faire venir un nouveau poney, faire monter de niveau ceux déjà présents ou agrandir son terrain.

Gros reproche que je fais au jeu : comme la plupart de ses confrères, il s’agit d’un freemium et il faudra dépenser de l’argent réel pour acheter des joyaux afin d’avancer plus vite dans le jeu ou de pouvoir acquérir certains poneys et objets.

Je dois avouer que c’est assez bien fait et très sympathique. Personnellement, je me suis prise au jeu, même si je ne pense pas continuer à jouer régulièrement après ce test. Une bonne idée pour initier un enfant au jeu de gestion simplifié, qu’il connaisse la série ou non.