[NEWS] SEGA : c'est TOUJOURS plus fort que toi !!!

unnamed

REVIVEZ L’ÂGE D’OR DES JEUX D’ARCADE SEGA EN EXCLUSIVITE SUR NINTENDO 3DS

Cinq titres cultes du catalogue SEGA remis au goût du jour, AfterBurner II™ ouvre le bal

SEGA® of America Inc. et SEGA® Europe, Ltd. mettent un coup de projecteur sur leurs historiques jeux d’arcade. Ils annoncent aujourd’hui la sortie d’une seconde vague de jeux remastérisés en 3D exclusivement pour la Nintendo 3DS™. Le premier titre à paraître sera la version 3D de AfterBurner II™ début 2015. Il sera suivi de 3D Fantasy Zone™, 3D OutRun™, 3D Fantasy Zone II™ et 3D Thunder Blade™ qui sortiront mensuellement. Chaque titre vous offre une expérience vintage authentique, allant jusqu’à recréer les sons mécaniques des machines, le tout amélioré de nouveaux modes, d’options et de bandes-son originales.

3dAfter-Burner2_003dAfter-Burner2_00

3dAfter-Burner2_00

« Ces jeux ont été entièrement refaçonnés pour offrir une expérience 3D de qualité. Ils proposent un gameplay plus moderne tout en restant fidèle aux originaux » commente John Cheng, Président et COO de SEGA of America. « Voici les meilleures versions de certains de nos titres les plus inoubliables. Quand on y joue, c’est comme si on était assis en face d’une authentique machine d’arcade ».

Les jeux seront vendus 4,99 € et seront téléchargeables sur l’eShop Nintendo pour Nintendo 3DS. Pour plus d’informations, notamment sur les mises à jour et dates de sortie, rendez-vous sur le blog officiel de SEGA,

[TEST] "Theatrythm Final Fantasy : Curtain Call" : une suite attendue.

Ayant énormément apprécié le premier volet de « Theatrythm Final Fantasy » et ayant pu tester le 2ème volet rapidement à Japan Expo, j’étais assez impatiente de pouvoir jouer pour de bon au 2ème volet, « Theatrythm Final Fantasy : Curtain Call ». Bilan après plus de 15 heures de jeu, cet opus est aussi bon que le précédent, voire meilleur.

 Plus de chansons.

Rien de nouveau au niveau du système de jeu en lui-même, pas grand chose. Il s’agit toujours de taper en rythme l’écran tactile en essayant de faire le plus de Critical possible pour faire le meilleur score. Petite nouveauté mais pas des moindres pour les joueurs qui voudraient avoir encore un écran de 3DS après le jeu : on peut à présent jouer aux gâchettes et à la croix directionnelle ou choisir un système de jeu incluant stylet et gâchettes pour ceux et celles qui n’arriveraient pas à se décider. Les phases de jeu sont toujours de 3 sortes : « Battle » avec 4 lignes à gérer (une par personnage), « Field » avec une seule ligne à suivre, ce qui finit par se révéler assez difficile en mode Ultimate et, quasiment absent de cet opus, le mode « Event Music» couplé à une vidéo, utilisé ici uniquement pour les jeux les plus récents. Le mode « introduction » et « conclusion » où il fallait tapoter le cristal plus ou moins en rythme juste pour augmenter le nombre de Ryhtmia a disparu, ce qui est plutôt une bonne chose étant donnée qu’il n’était pas très ludique.

Le catalogue de chanson est vaste et il est difficile d’en faire le tour : plus de 220 titres disponibles dont certains de Dissidia ou de Chocobo Tales et d’autres en version longue par rapport au précédent opus (on imagine que cela contient les DLC de l’opus précédent). Les notations vont jusqu’à SSS pour une chanson réussie avec toutes les notes parfaites. Il y a 3 niveaux : Basic (assez lent, peu de variété de touches), Expert (plus rapide, beaucoup de touches) et Ultimate (trèèèèèès rapide). Pour les vrais hardcore, il est possible d’ajouter le niveau « Ultimate debout dans la ligne 4 du métro parisien » (un des métros le plus brusque dans ses nombreux ralentissements et freinages).

Plus de personnages.

Les décors qui défilent durant les phases de jeu sont beaux, les personnages équivalents niveau design à l’épisode précédent et nombreux (même si malgré ça, certains restent réservés à l’achat en DLC). Comme dans le précédent opus, chacun a ses propres habiletés qu’il acquiert au fur et à mesure qu’il monte de niveau. Le côté RPG de ce jeu musical est ce qui en fait son intérêt : on voudra à tout prix monter le maximum de personnages au niveau 99. De plus, plus les habiletés des personnages et leur niveau sont élevés, plus il est facile dé gérer les chansons ou les niveaux difficiles.

Plus de modes.

En plus de cet ajout de chansons, 2 nouveaux modes de jeux viennent étoffer cette version  dont l’un des plus attendus étaient sans doute le mode Versus : la plupart des personnages et chansons étant  à débloquer, il vous faudra cependant jouer quelques chansons puis, une fois le mode Quest débloqué, en faire une avant de pouvoir y accéder. Vous pouvez à présent prouver votre dextérité en combattant un adversaire de votre choix, humain ou virtuel, en local ou par Internet, à une chanson en mode Battle. Mais attention, ici, un mode bonus aléatoire permet d’envoyer vers votre adversaire des petites joyeusetés comme les touches qui apparaissent au dernier moment, l’obligation de faire une note parfaite pour qu’elle soit validée, les flèches qui tournent sur elle-même ou les notes qui vont à toute vitesse… Inutile de vous dire que même en mode Basic, il faut avoir une bonne maitrise des chansons pour réussir à avoir le rang SSS.

L’autre nouveau mode vient remplacer les ensembles « Field-Battle-Event Music» proposé par jeux de la saga et la quête des joyaux, relativement dure,  du précédent opus. Il s’agit du mode Quest : des niveaux de longueur variée vous menant à un boss, proposant des chansons plus ou moins dures en fonction de niveau de la quête, en mode Field et Battle et surtout, des objets et des joyaux (vous permettant de débloquer de nouveaux personnages) à gagner. Vous surprendrais-je vraiment en vous disant qu’il faut de longues (dizaines d’) heures et une très grande maitrise du jeu avant de voir ne serait-ce que le bout du nez de Sephiroth ?

 Bilan 

En bref, oui, cet opus ne révolutionne pas le précédent et est surtout une amélioration du précédent que ce soit dans sa durée ou sa variété. Mais c’est si plaisant de jouer avec ces personnages en mode chibi et les magnifiques compositions des jeux Final Fantasy. Même en n’étant pas fan des Final Fantasy, voire en ayant joué à aucun (ce qui est mon cas), vous apprécierez sûrement ce jeu musical qui est un des meilleurs de la console.

NDLR : La Rédaction tient à préciser que les photos de la galerie prises durant les niveaux proviennent du mode Démo du jeu.

[SHOPPING] Pour Noël, vous prendrez bien un Lego ?

LEGO logo_RGBLego, est-il encore utile de présenter cette entreprise, célèbre pour ses petites briques avec lesquelles on peut créer tout et n’importe quoi et connue aussi , pour ces 20 dernières années, pour ces licences fameuses, que ce soit Marvel ou son concurrent DC, Disney, Star Wars ou Les Simpson pour la dernière en date ?

 
 
 
 
Nouveautés Star Wars
Lego a présenté cette semaine ses nouveaux produits pour les mois à venir et tout particulièrement décembre. Site geek oblige, je vais me concentrer sur les licences.
L’évènement de cette année est leur 15 ans de collaboration avec Star Wars. Je me souviens encore de l’achat du premier set, sorti à l’occasion de l’épisode 1 au cinéma, comprenant Dark Maul sur son véhicule et Qui-Gon Jinn et sa « moumoute », que ma camarade nommait ainsi car la chevelure avait tendance à se détacher dès qu’on lui montait le bras (tout ça ne nous rajeunit pas).
Parmi les produits à venir, on retrouve les vaisseaux aussi mythiques qu’imposants dont l’Imperial Star Destroyer qui comporte rien de moins que 1359 pièces. A la fois jouet et produit de collection, il est le produit dont tout fan de Star Wars rêve.
75055_prod
Du même niveau, nous avons l’AT-AT articulé, tout droit sorti de l’épisode 5, il ne manque que la neige. A peine moins riche en pièces que l’Imperial Star Destroyer (1137 éléments), il s’en rapproche cependant niveau prix : comptez 143€ pour ce dernier et 130€ pour l’AT-AT.
75054_prod
Lego a aussi pensé aux bourses plus modestes en proposant plusieurs kits à 30€ : le Vulture Droïd , l’Intercepteur Jedi, le V-Wing Starfighter et enfin, mon préféré, ne serait qu’à cause des personnages de Qui-Gon Jinn et du général Grievous livrés avec, le General Grievous’ Wheel Bike.
75040_prod
Dans la même lignée, comme tous les ans, Lego proposera ses calendriers de l’avant. Si les calendriers classiques Lego City et Lego Friends coûteront autour d’une vingtaine d’euros, il vous faudra mettre la main à votre porte-monnaie pour acquérir celui de Lego Star Wars dont le prix monte à 35€. Mais de mon point de vue, ce calendrier a 2 excellentes raisons d’être acheté : le Dark Vador exclusif Père Noël et le droïde Sapin de Noël. Ils ont littéralement été mon coup de coeur de cette présentation.
2014-09-17 16.33.12
 
2014-09-17 16.32.56 2014-09-17 16.34.27 2014-09-17 16.34.34
 
Nouveautés Disney 
Pour les enfants et les adultes fan des 2 longs métrages associés, Lego propose pour cet hiver la tour de Raiponce fournie avec Raiponce, Flynn et bien sûr Pascal (40€) ainsi que le château de Cendrillon avec Cendrillon, le Prince ainsi qu’un chien et un chat provenant de la collection Lego Friends (environ 77€). Je regrette que Pascal soit beaucoup moins attachant en figurine Lego que dans le long-métrage ou les autres produits existants. De plus, la chevelure de Raiponce semble n’avoir qu’une taille normale, ce qui gâche un peu le personnage.
41055_prod 41054_prod
Nouveauté jeu vidéo

Enfin, la plus belle nouveauté que j’ai pu voir à cette présentation était la démo du jeu Batman 3 : Beyond Gotham sur PS4, disponible en novembre prochain. Pas de Batman ni même de Robin dans cette démo mais Martian Hunter, Flash et Cyborg, ce qui lui donnait plus un côté Justice League. Je n’ai pas moi-même pris en main le jeu mais j’ai pu voir les détails dans le décor et les personnages qui ressortaient dans cette démo, ceux-ci étant presque plus détaillés que les figurines réelles. Lorsque Martian Hunter utilise son pouvoir de révélation des objets cachés, l’écran passe en couleur dichromatique que j’ai trouvé très bien fait, le jeu restant facilement jouable malgré cela.

Côté phases de jeu, on a pu voir dans cette démo une phase  shoot-them-up où, à bord d’un vaisseau, vous devez tirer sur les vaisseaux ennemis pour vous en débarrasser ainsi qu’une phase mission sur une planète étrangère, plus proche du jeu Lego traditionnel où vous devez vous débarrasser des ennemis, tout en éclatant tout  sur votre passage afin de récupérer les plus de pièces Lego possible, et résoudre des énigmes collaboratives (vous avez 3 personnages à chaque fois et seul un de ses personnages peut effectuer une action précise permettant d’avancer dans le niveau). Le jeu contient plus de 150 personnages ayant chacun 5 à 6 costumes différents permettant d’effectuer des actions précises. Martian Hunter peut voler, faire des tirs laser ou se transformer pour devenir plus puissant et casser plus facilement des choses. Flash a une super vitesse. Cyborg peut attirer à lui des objets en fer ou les faire exploser, ou encore se transformer en machine à laver mais, attention, une machine à laver qui effectue des tirs lasers (si vous ne me croyez pas, je vous invite à regarder la bande annonce plus bas). Le plus difficile dans le jeu semble être de connaître toutes les capacités de chaque personnage afin de savoir quel personnage utiliser pour pouvoir avancer et de bien assimiler les boutons de transformation et d’utilisation des pouvoirs.

Côté histoire, on trouve  l’humour parodique habituel ainsi que les détails qui font sourire, comme un des héros effrayé par une araignée ou les poissons lego nageant dans l’eau d’un étang.
Pour en savoir plus, je vous invite à visionner la bande-annonce présentée au Comic-Con 2014.

[TEST FLASH] Goat Simulator iOS

photo 2 Après être débarqué sur PC le 1er Avril dernier le jeu complètement barré de simulateur de chèvre arrive sur iOs … Nous avions testé la version PC et pensé coller ce jeu dans notre vitrine de la honte. Le jeu PC est bourré de bug, vilain, sans scénario, une ambiance sonore dont le seul intérêt est le bruitage de votre avatar, la surface de jeu est minuscule … Malgré tous ces défauts, le jeu est ultra fun parce que complètement débile et surtout totalement assumé par ses développeurs … Ces derniers d’ailleurs nous informe qu’il ne faut pas acheter ce jeu tellement il est rempli de bugs. Nous avons passé quelques soirées entre potes à torturer de la chèvre devant des pizzas 4 fromages et du coca … Bref, il est fun et donc n’a pas sa place parmi les jeux honteux. Bon voilà maintenant on a une version iOs et ça vaut quoi ? Bah c’est exactement la mêêêêêême chose … C’est vilain (mais moins que certains jeux bien moisis sur la plateforme), ça bêêêêle dans tous les sens, il y a des trucs cachés dans tous les sens dont je ne vous parlerai pas pour pas vous gâcher le fun, c’est pas cher (moins de 5 euros), et ça se joue bien … Bon ok, au clavier ou avec une manette, c’est plus simple à contrôler mais en fait j’ai trouvé les commandes assez faciles à prendre en main. Je vous laisse profiter de quelques captures d’écran, j’en ai choisi des bien belles ou la tête de la chèvre traverse une clôture … Si vous ne voyez pas l’intérêt d’un tel “simulateur”,  prenez ça juste comme un bon gros délire de développeurs sous acides, si vous ne vous décidez pas tout de suite, n’hésitez pas à craquer si vous voyez une promo, c’est un jeu d’apéro pour soirée, pour les plus aventureux d’entre vous, je suis sûr qu’on peut inventer quelques jeux d’apéro avec ce jeu … (à consommer avec modération, l’abus d’alcool est dangereux pour la santé, bien entendu !!!)

[NEWS] VOUS PRENDREZ BIEN UNE PETITE DOSE D’HEAVYBULLETS ! LE FPS PSYCHEDELIQUE FAIT SON TROU SUR STEAM

– Puisque le jeu vidéo rend accro… autant bien le faire –

Heavy Bullets - Key ArtAu Brésil, il y a le soleil, les strings et des développeurs exaltés comme Terri Vellmann. C’est sous ce nom de plume que notre compère créatif a couvé Heavy Bullets, un FPS procédural et un tantinet hallucinogène. Avec le concours de ces drôles d’oiseaux de Devolver Digital, Heavy Bullets sort de son nid sur Steam en version finale aujourd’hui. Lustré jusqu’à la moelle, Heavy Bullets s’offre des visuels vibrants, une mécanique sexy et une SOUNDTRACK™ signée par le musicien légendaire Doseone. Parce que la musique adoucit les meurtres, en voici un extrait : Armé d’un revolver super stylé qui crachote six balles boulottes, frayez-vous un chemin à travers un labyrinthe polychrome et planant. Générés aléatoirement, les niveaux sont truffés de créatures psychédéliques qui voleront en éclats sous le feu de vos tirs ravageurs. Votre mission est toute bête, il faudra activer les codes de sécurité des ordinateurs et mettre la main sur les trésors de guerre (balles, objets, soins…). Se déplacer trop prestement dans les couloirs dévorés par les néons aveuglants et Technicolors étant le meilleur moyen de se faire trouer la peau, vigilance est mère de sûreté. Depuis la phase d’accès anticipé du projet, Terri Vellmann et le musicien Doseone ont mis un point d’honneur à travailler avec la communauté. Après de nombreuses itérations, le graphisme, la courbe de progression, la synchronisation de la bande-son ont été améliorés.  En guise de remerciements, ceux qui ont acheté Heavy Bullets en accès anticipé recevront une clef Steam en cadeau. Elle apparaîtra dans leur inventaire et les heureux élus pourront offrir le jeu à un ami.  « L’accès anticipé a été une expérience utile et fantastique pour améliorer Heavy Bullets. MERCI à la communauté pour ses retours et son aide précieuse » termine Terri Vellmann. Heavy Bullets est disponible sur Steam, le Humble Store et d’autres crèmeries digitales. L’éditeur « surfait », Devolver Digital accordera une réduction de 15% pendant la semaine de lancement. Le jeu est disponible pour 7,49€. Oh Joies des largesses!

Suivez @TerriVellmann sur twitter.

[NEWS] EA ET BIOWARE PRÉSENTENT LEUR NOUVEAU RPG D’ACTION EN LIGNE SHADOW REALMS

Avec la possibilité de postuler à l’alpha fermée et de découvrir le dynamisme des missions co-op à 4 contre 1 et la narration épisodique d’un univers inédit signé BioWare …

BioWare™, une division d’Electronic Arts Inc. (NASDAQ : EA), annonce aujourd’hui Shadow Realms™, un nouveau RPG scénarisé en ligne à 4 contre 1, dont l’action se situe dans un univers (imaginé par BioWare) en constante évolution et dans lequel le fantastique côtoie la modernité. L’aventure oppose quatre héros à un ennemi animé des pires intentions (The Shadowlord) contrôlé par un autre joueur. Tous s’affrontent dans des missions dynamiques en co-op à 4 contre 1 qui assurent des combats au déroulement à chaque fois différent. Chaque joueur pourra soit incarner The Shadowlord, soit l’affronter, et gagnera de l’expérience et progressera de façons distinctes selon qu’il aura choisi le camp du bien ou celui du mal. L’action se déroulera sous la forme d’épisodes, à la manière d’une excellente série télé, afin de permettre à la communauté des joueurs de découvrir en même temps leurs aventures scénarisées.

« Ce jeu nous ramène par bien des aspects à l’âge d’or des jeux de rôle « papier-crayon » tout en proposant à nos fans quelque chose de totalement nouveau, » déclare Jeff Hickman, vice-président et directeur général de BioWare Austin. « Shadow Realms est un nouveau RPG signé BioWare qui possède tous les gènes des jeux BioWare, à savoir un scénario riche, un univers singulier et une profonde progression des combats, mais le tout se présente sous la forme d’une expérience interactive qui fait évoluer le genre et qui plaira encore plus aux joueurs en ligne du monde entier. »

Dans Shadow Realms, les Modern Heroes (Héros Modernes) de la Terre sont « réveillés » et recrutés les uns après les autres, en raison des pouvoirs magiques qu’ils possèdent sans le savoir. Ils sont enrôlés pour mener un combat naissant et dangereux face aux Shadow Legions of Embra (Légions des Ombres d’Embra). Les Shadow Legions, engagés depuis des années dans une guerre contre les Radiant Empires (Empires Rayonnants), bénéficient depuis peu de l’appui surpuissant et mystérieux des Shadowlords (Maîtres de l’Ombre). Or voici qu’après avoir trouvé le moyen de quitter Embra, ils s’apprêtent à envahir la Terre.

Sauvez l’humanité toute entière en rejoignant trois autres Modern Heroes et en affrontant ensemble les infernales Shadow Legions et un Shadowlord contrôlé par un joueur. Créez un Hero (Héros) et un Shadowlord personnalisables à volonté pour s’adapter à la façon de jouer de chacun.

Rendez-vous sur www.ShadowRealms.com/play pour vous inscrire et peut-être participer à l’alpha fermée. Devenez fan de Shadow Realms sur Facebook et suivez-nous sur Twitter @shadowrealms.

[NEWS] DÉCOUVREZ VOTRE PROPRE ROYAUME DISNEY DANS DISNEY MAGICAL WORLD

nfr_cdp_disney_magical_world.003DÉCOUVREZ VOTRE PROPRE ROYAUME DISNEY DANS DISNEY MAGICAL WORLD – SUR Nintendo 3DS LE 24 OCTOBRE

Pour tout fan de l’univers Disney, le nouveau titre exclusif aux consoles Nintendo 3DS et Nintendo 2DS est un véritable rêve devenu réalité !

C’est un univers tout entier qui attend les joueurs dans Disney Magical World, disponible sur consoles Nintendo 3DS et Nintendo 2DS dans toute l’Europe à partir du 24 octobre prochain. Une fois qu’ils auront créé leur avatar personnalisé, les joueurs embarqueront pour une aventure fantastique entièrement en 3D.Ils seront amenés à rencontrer plus de 60 personnages Disney légendaires et à explorer la grand-place du Village enchanté, ainsi que les mondes imaginaires merveilleux inspirés d’Alice au Pays des Merveilles, Cendrillon,Aladdin et bien d’autres encore. Au cours de leur aventure, les joueurs auront l’occasion d’interagir avec leurs personnages Disney favoris, de gérer un café afin de remporter des pièces utilisables dans le jeu, de partir à la chasse aux fantômes et même de visiter les villes de leurs amis par le biais de la fonctionnalité Multijoueur Local !

Avec sa multitude d’options faisant la part belle à la créativité et à la personnalisation, Disney Magical Worldpermet aux joueurs de laisser libre cours à leur imagination. Ces derniers pourront par exemple utiliser les plus de1000 éléments mis à leur disposition pour affiner leurs aptitudes en design et créer des centaines de tenues, accessoires et meubles personnalisés inspirés de l’univers Disney. Les restaurateurs en herbe pourront personnaliser leur propre café, depuis la décoration jusqu’au menu. En assurant une gestion efficace de leur établissement, ils pourront gagner des pièces utilisables dans le jeu et peut-être même accueillir leurs personnages Disney favoris. Quant à la chambre privative située à l’étage du café, elle mettra à disposition des joueurs de nouveaux objets et meubles avec lesquels personnaliser encore davantage leur expérience.

Pour les joueurs friands d’aventure, Disney Magical World proposera un grand nombre de quêtes exaltantes, chacune d’entre elles permettant d’obtenir des objets uniques à collectionner. Les joueurs pourront ensuite utiliser les pouvoirs des différentes baguettes magiques obtenues au cours de leur aventure pour partir à l’assaut de forêts et donjons peuplés de fantômes. Ils auront également l’occasion de venir en aide aux personnages Disney enrécupérant des objets disparus au gré des mondes.

Dans Disney Magical World, les joueurs peuvent se connecter avec leurs amis pour montrer leur créativité. En connectant vos consoles Nintendo 3DS ou Nintendo 2DS en Multijoueur Local, vous pourrez vous rendre dans les villes et les cafés de vos amis, et même échanger vos objets favoris.

Pour ajouter du piment à l’aventure, vous pourrez acheter un monde entier basé sur Pirates des Caraïbes comme contenu supplémentaire à partir de novembre 2014. Vous y trouverez de nouvelles quêtes, de nouveaux personnages, dont le légendaire capitaine pirate Jack Sparrow. Dès la sortie du jeu, des objets gratuits uniques, comme de nouveaux costumes, des recettes et des objets pour votre café seront disponibles dans toute l’Europe via la Nintendo Zone. Dès le lancement, vous pourrez aussi profiter des capacités de Réalité Augmentée des consoles Nintendo 3DS et Nintendo 2DS, et cela grâce à la distribution de cartes AR spécifiques à Disney Magical World. Nous donnerons plus de détails sur ces cartes AR et leur obtention peu après la sortie du jeu.

Préparez-vous à vivre des aventures exceptionnelles dès la sortie de Disney Magical World sur consolesNintendo 3DS et Nintendo 2DS, le 24 octobre 2014.

[TEST] Trials Frontier

Et voilà, c’est fait, malgré tout ce que j’ai pu lire ou entendre sur Trials Frontier j’ai quand même trouvé le courage de l’installer … J’ai en principe très peur quand un jeu est gratuit, il y a une règle assez universelle : « si ça semble trop beau pour être vrai, c’est que c’est trop beau pour être vrai ! ».

Trop beau pour être vrai ?

Pour une fois je vais me faire l’avocat du diable : est-ce qu’on peut imaginer que des développeurs travaillent gratuitement juste pour nous donner du plaisir ? Est-ce qu’on peut imaginer notre livreur de Pizza nous laisser avec la commande et un grand sourire sans nous demander des sous ? Non pas vraiment … Certes la situation est plus vicieuse avec les Pay-To-Play … pardon je voulais dire Free-To-Wait … rhooo je vais y arriver : Free-To-Play (F2P) ! Surfer sur un succès comme Trials/Trials EVO/voire Trials Fusion … pour nous sortir une version mobile c’est compréhensible, et en sortant un jeu de qualité l’éditeur doit prendre la décision : est-ce que je fais payer une seule fois quitte à pas faire voir que mon jeu et beau ou bien je le mets gratuit et surfe sur la tendance dégueulasse du F2P ? Revenons à notre livreur de pizza : si le gars vous apporte votre commande et vous dit « La première part de pizza est gratuite, mais si vous en voulez une deuxième faut payer un tout petit peu, si vous voulez une demie pizza faudra payer plus, et si vous êtes gourmand et que vous voulez la pizza entière va falloir payer beaucoup » … A l’arrivée votre pizza junior vous aura coûté un bras, trop cher, bien plus que si vous l’aviez achetée … mais pour le gars qui a un petit appétit ça fait la blague … Là où ça me dégoûte un peu (non beaucoup en fait) … c’est que ce système pénalise la base de fans de Trials, des gamers ! Les mecs comme moi la pizza junior ça me suffit pas !!! Après un casual va pouvoir y jouer 10 minutes aux WC (pas la pizza ! le jeu !),  entre deux réunions, ou pendant un trajet en transports, mais ça m’étonnerait que ce même casual joue aux versions PC/Console.

Ceci étant dit, qu’est-ce qu’il vaut ce jeu ???

Mais quand même beau ?

Alors oui, le jeu est beau, il est propre, parfois même plus que son grand oncle Trials, j’irai pas jusqu’à oser dire que lui contrairement à Trials EVO ne perd pas ses textures, ça va finir en gros troll des bois de ma part, et en plus j’adore EVO ^^
Donc il est beau, vous n’avez qu’à jeter un oeil sur la galerie, il est dynamique, on se laisse prendre au jeu (et c’est bien la le problème … pizza compléte tout ça tout ça …). Des personnages nous proposent des « missions » dont l’intérêt est plus que douteux, mais sans doute faut-il ça dans un F2P, ça doit rassurer le casual payeur gamer et ça fait plus joli qu’une bête liste de pistes, mais il ne faut pas se leurrer ça revient au même. Niveau bande son, pas de quoi s’émerveiller : les bruitages sont correct mais la musique est … ABSENTE, on est loin de la musique pêchue de la série Trials … Après, niveau contrôles ils sont simples, et encore heureux, on reste sur du trials mais tactile uniquement (voir plus bas). Bref c’est propre, c’est assez fun, y a pas un nombre incalculable de pistes mais on est sur du jeu mobile …

Le modèle économique :

Sur un Free To Play, il est je pense important de préciser le modèle économique.
Pour jouer une course, il vous faut de l’essence (sans déconner …). Vous pourrez améliorer votre moto chez le mécano, mais pour ça il vous faut de l’or … Vous pourrez acheter (et oui on ne les gagne plus !) vos motos, mais pour ça il vous faut de l’or. Pour gagner de l’or il faut faire des courses, mais si vous avez suivi pour faire une course il vous faut de l’essence ! Pour gagner de l’essence il faut gagner des XP. Pour gagner des XP il faut faire une course ! Mais bien entendu vous aurez moyen de patienter parce que l’essence ça pousse comme ça dans le désert de Trials Frontier ! Du coup en attendant vous allez gagner (un peu !) d’essence … MAIS (et c’est là qu’on voit le matelas crasseux à l’arrière de la camionnette du monsieur qui nous proposait des bonbons) vous aurez moyen d’accélérer tout ça grâce à des joyaux, et pour gagner des joyaux je vous le donne en mille : $$$_IL_FAUT_PAYER_$$$. C’est très raisonnable cela va de 4.49€ à 89.99€ … non je déconne c’est hors de prix !!! Pour les améliorations de votre bécane, la cerise sur le pompon que je vous gardais pour la fin, il faut certes payer avec l’or mais il faut attendre que le mécano bosse … au début ce sera 2 secondes, puis 30, puis 30 minutes puis … arrrgggggghhhh !!! La meilleure offre selon l’éditeur est à quasiment 90 euros ! Sérieusement ? 90 euros pour un petit jeu ??? C’est le prix d’une PSP avec une bonne dizaine de jeux sur les sites d’occasion ! Vous avez un bonus aussi qui vient de temps en temps vous offrir des pièces pour votre moto, ou même des joyaux, c’est pas grand chose mais prenons ça comme un acte de générosité, pour nous inciter à ne pas lâcher le jeu sans doute. Si l’équilibrage du jeu et les contrôles ne sont pas parfaits, le modèle économique a été pensé aux petits oignons. Ne soyez pas dupes, si ça semble trop beau c’est que c’est trop beau pour être vrai !

Le dernier coup de gueule :

J’ai investi il y a quelques semaines dans un pad pour iPhone/iPod, et j’ai adoré ! Je me retrouve avec un iPod qui peut concurrencer les PSP/3DS avec des bons vieux boutons des bois ! MAIS bien sûr gérer ce genre de périphérique ça devait être trop compliqué, car vous devrez vous farcir les contrôles tactiles bien pourris par rapport à de vrais boutons … (c’est un avis personnel hein ^^ ), bien entendu sur un jeu comme Angry Birds (si si avouez vous y avez joué !) ou 2048, bien sûr que le tactile me va et que je sors pas le tank de joystick à greffer sur mon iPod, mais Trials franchement Trials quoi … Boutons hein … Une mise à jour serait bienvenue.

Pour résumer :

Trials Frontier est un bon petit jeu, son concept de progression peut vous donner envie de vomir, ou vous convenir si vous ne consommez pas un jeu jusqu’à l’overdose, là vous ne pourrez pas sans vous ruiner en « in-app purchases » … Bon cela dit pour ma première partie j’ai joué plus d’une heure sans être frustré, j’ai même eu quelques joyaux (sans payer !) la progression du départ est très généreuse histoire de vous appâter (la première dose est gratuite !!!). Il faut voir si on peut à la longue se contenter de jouer sans payer. Après c’est un jeu, il n’est pas mauvais, alors un conseil, si vous vous sentez capable de ne pas craquer sur les achats in game, testez le, ça vaut le coup, après si vous avez les moyens de vous ruiner, ou la patience d’attendre de pouvoir jouer foncez ! Un conseil quand même, évitez de payer, si plus personne ne paye, cette pratique dégueulasse sera peut-être remplacée par un modèle économique plus traditionnel, un achat à prix raisonnable … Le jeu serait sorti en version payante entre 5 et 10 euros ça n’aurait pas été du vol … sauf si on s’aperçoit qu’il se boucle en 2 heures …

Liens utiles :

Lien pour iOS : cliquez ici
Lien pour Android : cliquez ici

Testé sur iOS, iPod touch (2013).

[SORTIE] Ma première fois à Geekopolis

Dans ce compte-rendu, je ne vous énumérerai pas toutes les activités ou animations disponibles à Geekopolis. Déjà, parce que le site web du festival et les communiqués de presse le font beaucoup mieux que moi, ensuite parce qu’il s’agissait de ma 1ère fois dans ce festival (qui a fait 15 000 entrées cette année) et que c’est par mes yeux de béotienne que je souhaite le partager avec vous.
Samedi
A mon arrivée samedi après-midi, je me sens un peu comme un dresseur dans une arène de Pokémon : il faut plusieurs tapis roulants et escalators avant d’arriver sur les lieux de la convention.
P1110035
 
Au sein même de la convention, cette sensation persiste : combien de temps m’a-t’il fallu avant de comprendre qu’il faut que je traverse un rideau noir, soit une sortie de secours, pour pénétrer dans Metropolis, espace que j’ai d’ailleurs découvert plus par hasard qu’autre chose ? Au sein de chaque espace, on se sent comme une souris dans un labyrinthe, allant à gauche puis à droite, jetant un coup d’œil dans ce couloir au fond, sans vraiment savoir exactement où on est. Bien que ça aie été un plaisir de m’égarer, l’apparition des pastilles « vous êtes ici » sur les plans le dimanche n’a pas été malvenue, surtout pour le quartier de Métropolis dont les allées, plus étroites que dans les autres espaces, étaient très vite bouchées.
La proximité des univers fait qu’ils finissent par se mélanger : il n’est pas incongru de croiser le roi Arthur dans le Nautilus ou un personnage de Steampunk au sein d’un stand Star Wars.
Parmi tous les univers présents, le plus beau est véritablement celui dédié à l’univers du steampunk, présent un peu dans les autres festivals, mais ici vraiment mis à l’honneur dans espace dédié. Bien que je n’aie pas d’atomes crochus avec cet univers, les costumes et les décors sont magnifiques. Félicitations tout particulièrement aux stands de la Steam Rocket et à celui du Nautilus qui mettent des étoiles plein les yeux et 3L1C pour sa jolie galerie.
P1100974
P1110103
Je visite tous les espaces tant bien que mal. Dans le quartier Teklab, je m’attarde sur les robots de Caliban et ne jette qu’un œil rapide à l’Occulus Rift ou la harpe sans corde en démonstration. Je fais bien entendu le détour incontournable aux stands de Mo5.com, et de Marcus Fait Son Show  (dont les machines sont fournies par Nemcoshow) qui sont situés côte à côte, histoire de dire bonjour aux copains d’association. MO5.com a axé ces jeux rétro sur la thématique de l’Alien, ce qui me  permet de me ramasser joyeusement à Duke Nukem sur Saturn alors que je connais les niveaux par cœur. Le stand de Marcus Fait Son Show bénéficie quant à lui aussi de la présence de consoles rétro,  de celle de Marcus (ce qui semble assez logique) mais aussi d’une Wii U jouable et d’une fausse game boy géante pour prendre des photos insolites.
P1110027
A la fin de cette première visite, mon ressenti est mitigé :
–       d’un côté, le festival me fait penser aux espaces créateurs de Japan Expo (ce qui est un bon point) mais aussi à une succession de boutiques, le monde présent ne permettant pas vraiment de se sentir à l’aise.
–       De l’autre côté,  l’ambiance au sein du festival est excellente : la majorité des gens sont souriants, gentils et ouverts, prêts à discuter de leur passion. De plus, j’ai pu faire quelques bonnes découvertes comme le groupe de rock zombie MagoYond  ou le dessinateur Vinz El Tabanaz dont j’ai adoré le style graphique. Je les recommande d’ailleurs tous les deux chaudement.
En quittant le festival ce samedi, j’aurai pu en rester là. Pourtant, il me reste comme une sensation d’inachevé. Je décide donc de sacrifier de mon sommeil pour revenir le lendemain matin et profiter ainsi mieux du festival et de ses activités.
Dimanche
Arrivant à l’heure d’ouverture au public, j’ai le plaisir de trouver des allées dégagées permettant d’accéder aux stands. Je visite ainsi correctement les espaces Steampunk, Avalon et Nautilus qui étaient difficilement pratiquables la veille. Un de mes regret : malgré mes recherches, je n’arrive pas à remettre la main, ou plutôt l’œil, sur l’exposition dédiée à la série animée à venir du Donjon de Naheulbeuk.
Je profite de l’accalmie afin de me faire tirer les cartes au tarot et m’initier à reconnaître les épices au sein du sympathique stand The Geek Side.
P1110059
J’assiste à quelques démonstrations de combats de GN par Les Compagnons de l’Ouest , à la baïonnette par Hycarius et Onyros  puis me fait initier au combat au sabre à laser face à un jedi de Geek And Sword, pauvre padawan que je suis . Tenir un sabre laser lumineux, ça n’a pas de prix.
P1110068
La matinée étant presque achevée et la foule commençant à revenir, j’en profite pour faire le tour des rédactions sur place et que j’apprécie pour les féliciter de leur travail : celle de Canard PC sur le stand d’Intel où ils présentent leur PCP Box, Animeland ou encore feu Dixième Planète sur le stand Gentlemen Collectionneurs avec une très belle expo sur « 2001, Odyssée de l’Espace », reprenant l’univers de leur Hors-Série n°2 dont quelques exemplaires étaient d’ailleurs en vente sur le stand.
P1110079
Je termine par une micro-conférence sur le sexe chez Tim Burton, présentée par l’association Timburton.net.
Mon bilan sur ce festival est qu’il est plus que complet. Ajoutez aux stands les ateliers, les démonstrations et les conférences : le don d’ubiquité ne suffirait pas pour pouvoir profiter totalement du festival !
Il y a tellement d’autres animations et stands dont je pourrais vous parler : la fresque de vaisseau peinte en directe, l’atelier d’origami, le jeu de rôle, le stand de laser tag, l’initiation au vol de poisson volant, les stands de papercraft, etc. D’ailleurs, je vous conseille d’aller lire en parallèle le compte-rendu du site Hobby Forever que j’ai beaucoup aimé.
La liste des associations ou groupes cités dans ce compte-rendu est loin d’être exhaustive : encore une fois, je ne peux que vous inciter à aller sur le site de Geekopolis  afin d’y consulter la liste des artisans ou des participants. Le choix est tellement vaste que vous y trouverez sûrement une association vous intéressant.
Bref, une très bonne expérience à renouveler l’année prochaine !