[VITRINE DE LA HONTE] La Licorne Magique

2013-03-10 17.50.00-1Dans la vie il y a des périodes plus difficiles que d’autres. Quand votre PC vous lâche et que votre seule distraction se résume au tas de jeux réservés à la Vitrine de la Honte… La vie prend un tournant des plus tragiques… Il fallait un peu de magie et de fantaisie dans ce monde de brutes. Alors j’ai choisi ce jeu « La Licorne Magique » ! Au dos de la boite j’apprends que je vais entrer dans le monde de Sarah qui est « différent, enchanteur et surtout mystérieux ! » : j’ai hâte.

Pour l’occasion, quoi de plus logique que de ressortir la Nintendo DS Lite Rose.
Le plus difficile au début de l’histoire c’est de se faire à l’atroce musique en mode midi ou équivalent, je ne sais plus trop, j’ai surtout l’impression (au delà du mal de crane) que c’est du faux midi car il y a parfois des sons de flutiaux qui ne semblent pas sortir d’un clavier de base. Je (alias le perso principal) rencontre en sortant donc de la ferme de mon oncle la fée Eldoria. Normal. Celle-ci m’explique que je suis la seule à avoir le pouvoir et que la licorne et moi sommes « la clef qui permettra de chasser le Mal de la foret ». J’ai jamais vu une clef chasser quoi que ce soit mais je comprends que je vais devoir combattre des vilains méchants à coup de euh licorne ? Le suspense est insoutenable, à quoi va ressembler ma mission ?!! (sans musique car c’est plus possible)
Il y a donc quatre temples de fées. Dans chaque temple un éclat de diamant à placer sur ma baguette magique !! Et avec cette baguette je pourrais À Jamais verrouiller le « portail sombre »

Me voilà livrée à moi même. Aucune idée de ce que je dois faire alors je me balade, je donne à manger à des ersatz de poules (mais je suis pas sûre, rien n’est clair dans ce jeu), j’avance à deux à l’heure, c’est encore plus pénible que de ne pas savoir ce que je dois faire. Un tour au village… Bien bien bien
Oh oh j’ai trouvé des ronds à terre… Un temple… C’est le temple de la foret! Oooh ma licorne !! Que je ne peux pas monter car il me faut des ustensiles ! Peut être que le magicien du village peut m’aider…
Manque de chance, je n’ai pas assez d’argent local pour acheter quoi que ce soit…. Je retourne donc à la ferme, je caresse Misty qui est à priori l’animal de compagnie de mon oncle. Je secoue l’arbre et mets les fruits dans une caisse…. Et ne trouve plus rien à faire. Je ne peux rien acheter car pas assez de sous (même au marchand de graines pour les animaux de la ferme) et le pire dans tout ça… C’est que je n’ai aucune idée de comment sauvegarder ma « progression ». En appuyant sur Start j’ai « continuer » ou « retour au menu principal ». Et non ! En choisissant la deuxième option on revient vraiment au menu principal. Sans sauvegarder. You-pi.
Ou alors… je peux rentrer dans la ferme et cliquer sur «finir la journée», ça peut aussi être une bonne idée.

Première journée laborieuse, moi je vous le dis.

Je reviendrai vers vous, comme d’habitude, une fois que le jeu aura un peu avancé et que j’aurais eu le temps de me faire une idée sur la jouabilité pour le moment plutôt relative…

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Journée 20. À peu près deux heures de jeu. Des dizaines de graines achetées pour les bêtes, une nouvelle bestiole, 3 quêtes, des fruits cueillis, des caresses à Misty… Je comprends que j’ai voulu de base aller trop vite. En effet, j’ai voulu tout de suite voir le côté féerique et m’amuser avec la licorne, puisque c’est le nom du jeu quand même. À priori je dois accumuler les opales (monnaie locale) et au fur et à mesure je vais apprendre à jeter des sors et à m’occuper de la licorne… Mais quand vais-je commencer la partie du jeu où tout est magique ? aucune idée. « En un coup de baguette magique, Sarah apprend la magie et l’aventure commence avec sa licorne » est-il inscrit au dos de la jaquette… Ma baguette doit être rouillée car pour le moment je fais un boulot de fermière… Je laisse encore deux heures de jeu avant de hurler à la publicité mensongère. En attendant je valide la vitrine de la honte quand même car petite fille je n’aurais pas compris pourquoi je ne joue pas avec la licorne.

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Journée 40. Je rends mon tablier de fermière et ma cravache.
Oh oui j’ai nourri les bêtes tous les jours, secoué l’arbre pour gagner des « sous » pour pouvoir acheter les soins pour la licorne.
Oh oui j’ai passé une heure à chercher un Laitoux disparu qui était dans un endroit que seule la licorne pouvait trouver, à comprendre seule que pour « soigner » la licorne je devais faire une sorte de partie de Simon plusieurs fois de suite et que pour faire courir et stopper ce bourricot il fallait utiliser L et R, et que le seul bouton utile de l’aventure (qui permet de prendre les grains et secouer l’arbre et déposer les fruits et caresser Misty et parler aux gens et lire les écriteaux  était aussi celui qui permet à la licorne de sauter. Lorsqu’elle court uniquement. J’ai donc découvert une nouvelle foret. Avec des chemins que je ne peux emprunter car barrés par des cailloux. Tant pis pour la magie ; je sature.

Comment conclure? Hum… Je vous ai dit que je n’avais pas d’ordinateur en ce moment, je vous présente donc mon premier test de jeu écrit entièrement sur smartphone. Comment ajouter du piment dans sa vie ? Découvrir un jeu et en parler via mémos limités en caractères. May the magic be with you 😉

[TEST] Le BYOOK – Tara Duncan

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Voici un petit écart Dreganien en dehors des critiques habituelles de jeux vidéo. Un coup de cœur, une jolie découverte, bref, une nouvelle aventure ! C’est en flânant dans le du Salon du Livre et de la Presse Jeunesse qu’au détour d’un chemin je me suis trouvée nez à nez avec un PLV de Tara Duncan qui a attiré mon attention… et juste devant elle, une tablette… Voilà de quoi aiguiser ma curiosité.

Pour ceux qui ne connaissent pas Tara Duncan, il s’agit d’une série littéraire de fantasy, crée par Sophie Audouin-Mamikonian, portant le nom de son héroïne, une « sortcelière »  (non, je ne suis pas sous substances, c’est le bon mot, car elle « celle les sorts ») et ses aventures sont disponibles en livre et en dessin animé.
Trop souvent présentée, de façon bien réductrice, comme « une sorte de Harry Potter au féminin » qui a « son univers magique bien à elle », elle propose pourtant  d’autres choses. J’ai toujours eu une affection particulière pour cette aventurière plutôt maladroite aux pouvoirs parfois capricieux. Quoi qu’il en soit, je viens aujourd’hui, plus que vous parler de Tara en elle-même, vous initier au Byook et de la séduisante combinaison des deux, car telle fut ma découverte au Salon.
Sans vous faire une biographie, Tara Duncan n’est pas le premier Byook à voir le jour par chez nous. En quelques clics (de l’index) et un investissement d’une somme plutôt symbolique (moins de 3€), vous pouvez vous aussi vire cette jolie expérience ! Plus qu’une application Smartphone (ou tablette), plus qu’un bouquin ou e-book, le Byook est ma nouvelle passion ! Qu’on connaisse/adhère à Tara Duncan n’est pas l’objet de ma chronique. Le Byook a plusieurs avantages. On le transporte partout, comme un e-book me direz-vous. Certes, mais il propose bien plus qu’une lecture…
L’auteur a écrit spécialement pour le Byook un nouvel épisode de Tara Duncan qui permette d’utiliser toutes les fonctionnalités alléchantes de ce nouveau media. Une histoire et un contenu exclusifs, que demander de plus ? Que je vous explique peut-être…
En démarrant l’appli, on me conseille de mettre le casque pour une meilleure expérience. Je m’exécute sans broncher, ne voulant pas perdre une miette de ce test. D’un mouvement de doigt, on peut régler facilement le volume des sons et de l’ambiance et bien sur tourner les pages. Vous l’aurez compris, cette expérience a pour moi été une réussite.
Pour faire un aparté sur ma vie, j’ai toujours eu un mal de chien à lire dans le silence (ou le bruit du métro) mais aussi, et surtout, à choisir la musique qui accompagne au mieux mes lectures, ne sachant pas toujours à quoi m’attendre en entamant un bouquin. Question réglée avec le Byook, qui propose d’inclure à sa lecture une musique qui colle parfaitement à l’univers de l’héroïne, en l’occurrence, et aux évènements relatés.
Les pages sont agrémentées de dessins animés, au vrai sens du terme : soit une vignette qui mette en image ce qu’on peut lire sur la page, soit seulement des détails en marge qui s’animent… comme par magie… Ca tombe plutôt bien ceci dit !
Au-delà du coté ludique évident, ces animations n’empêchent ni la lecture, ni la concentration, ni l’imagination, bien au contraire même ! Je me suis sentie stimulée par tout ce qui se passait dans mon téléphone ! Et captivée par la même occasion. Il est simple de mettre en pause et de reprendre la lecture, même après avoir fermé l’appli.
De plus, vous avez la possibilité de faire signer votre Byook si vous croisez l’auteur ! Si si, et je ne parle pas de votre téléphone, il s’agit d’un des « bonus » de l’appli ! Tout ceci choquera certainement les puristes et amoureux du papier (à raison certainement),  mais avouez quand même que ce concept est génial !
Pour conclure, j’ai été conquise par cette histoire originale et exclusive, tout à fait compréhensible pour quelqu’un qui ne connaît pas du tout la sorceliere, l’humour indéniable au fil des pages et cette impression d’immersion totale dans le monde de la jolie Tara, bref un bon moment, divertissant et j’en redemande, indéniablement.

[CRITIQUE CINE] Les mondes de Ralph

Une avant-première avant même le début des avant-premières, ça ne se refuse pas ! C’est alors que le 20 novembre, je me suis rendue au Grand Rex pour assister, avant tout le monde, à la projection du film « Les Mondes de Ralph », précédé de la « Féerie des eaux ». Parlons en, de cette magie aquatique… Peut-être, mais cela m’étonnerait énormément, ai-je perdu mon âme d’enfant. Mais regarder une fontaine éclairée par quelques lumières, qui réagissent à l’unisson (ou pas) en fonction de la musique que je qualifierai de « à la mode » pour ne vexer personne, ce n’est pas franchement palpitant. Les seuls moment de surprises qui ont retenu mon attention, sont les apparitions de personnages de jeux vidéos (et oui, il était là le lien avec le film !) qui débarquent de nulle part sur le rideau derrière la fontaine, comme dessinés aux lasers. Et Rayman se déhanchant sur « Ai seu te pego », ça, je ne m’y attendais pas vraiment. Sur les photos, vous pouvez voir Mario et Luigi qui, de souvenir, son venus montrer leur bouille sur la seule chanson qui me parlait vraiment (et c’est là que tu te dis que tu as vieilli) « Rasputine » de Boney M. S’en suivit un court dessin animé, conformément aux habitudes de Pixar, émouvant et drôle, dans la tradition des courts, apéritifs pré dessin animé de tête d’affiche. Je vous laisse le plaisir de découvrir cet instant fort sympathique en salle obscure. D’ailleurs, je vais essayer de ne pas trop déflorer le film. Je pars de l’idée qu’un film concernant les jeux vidéos vous enthousiasme autant que moi : L’idée de voir un bonhomme, méchant de surcroît, se balader dans les jeux qui font partie de nos vies, ça doit valoir le déplacement ! Sans tout dévoiler alors, et en remettent ceci dit les choses en place deux secondes, l’affiche est vraiment aguicheuse et prétentieuse. Ce dessin animé est vraiment très sympa, les références à nos univers geeks plutôt agréables et distrayantes… Cependant, n’imaginez pas que ce brave type à l’allure plutôt avenante malgré son rôle de destructeur d’immeubles (v’la le méchant en carton) va vraiment taper le check à Eggman ou danser la valse avec Sonic. Il s’agit tout de même d’un film Disney hein. Alors certes, humour et références sont là et, non d’un Bonus merci, à aucun moment les personnages se mettent à chanter (contrairement aux habitudes du studio). Mais tout est gentil (mais méchant un petit peu), tout est joli et bien fait, il y a un fort message de tolérance, tout le monde s’aime à la fin (Ne dites pas que j’ai spoilé hein, c’est un DISNEY !). C’est un bon moment, il ne faut pas le nier. Personnellement j’attendais un peu plus de geekisme mais la recette prend bien. Si vous emmenez vos enfants au cinéma, faites les jouer un peu les jours précédents, racontez leur les moments où vous jouiez sur des bornes dans les cafés, les moments à taper les codes pour avoir des bonus, tout ce qui a fait de vous le fan de jeu que vous êtes aujourd’hui, ils auront besoin de ça pour apprécier les subtilités qui vous feront à coup sur sourire une fois installé face à l’écran géant.

TECKTONIK WORLD TOUR SUR DS – CHRONIQUE

J’entame cette nouvelle chronique avec une certaine angoisse, je ne peux pas vous cacher cette émotion dévorante… Mettez-vous à ma place… Ah bah vous aussi vous frémissez ! J’en étais sure… Pourquoi moi ? A vrai dire, j’aime la danse, c’est un peu comme Real Sorties Vétérinaire, c’est un sujet qui ne m’est pas totalement étranger. Sauf qu’au-delà d’une danse, il s’agit d’un véritable mouvement, une mode à laquelle j’ai eu la chance d’échapper (parfois ça a du bon d’être vieux). Loiiiiiiiiiin de moi l’idée de critiquer qui que ce soit, nous avons tous des dossiers plus ou moins poussiéreux et avouables. Mais la vraie question (en dehors de l’évident aspect commercial de la chose), c’est Mais pourquoi un jeu vidéo sur ce sujet ?. Je me demande à quoi ça peut ressembler. Voilà alors mon défi du jour, répondre à toutes ces questions euh passionnantes. Allez, j’innove, moi qui suis une adepte de la lecture de notice, je vais faire fi de ce bout de papier qui me tente tant et je vais me plonger directement dans l’univers qui s’offre à moi !

Je regrette un peu d’avoir mis le son de ma console à fond, on se croirait au macumba de Perpette-la-Nouille… ou en meeting spécial Tunning…

« Rentre ton blaze à l’aide du clavier » mais looool ok (ndlr j’hésite à mettre du verlan quand même).

« Crée ton blase en choisissant un profil vide » euh hein ? Mais je te l’ai euh déjà mis dans ta face mon blaze, mec ! Breeef

« Veux-tu utiliser ce blaze » ? Nan je veux jouer à ton jeu pourriiiiii

« Salut Dregane, moi c’est Treaxy (ndlr : Quelque chose me dit que ce n’est pas ton blaze de naissance…) Bienvenue dans mon cours de Tecktonik. Motivé ? »

Bon tu t’en fiches que je sois sur une fille et que « motivé » me convienne moyennement. Et accessoirement, j’avais oublié la magnifique coupe de cheveux qui va avec ce courant musical, portée à merveille ceci dit par Treaxy ; micro crête, mulet et oooh le piercing en strass sous la lèvre huuuum. Tous les gouts sont euh… tout caaa.

« Il faudra ! Commençons d’abord par les bases avec les points. Tu dois toucher un point quand le cercle atteint la bordure du point. Il faut que tu gardes le rythme ». Bon je crois avoir compris le concept du jeu musical de base…mais musicalement (puisqu’on en parle) par contre ce n’est toujours pas gagné. Et pourtant je suis une grande fan d’électro.

« Félicitations Dregane, reviens pour la prochaine séance » ! Ah c’est déjà fini, oh ça devait être le cours d’essai ! Que je n’ai pas super bien suivi parce que j’essayais de prendre des photos pour cet article hehe, bon c’est reparti !

« Quel show, tu as débloqué : t-shirt ! » oh la bonne nouvelle je vais débloquer des fringues de mecs… enfin de stripteaseurs on dirait surtout lol

Grace à une « jolie » carte, j’apprends que je suis au nord-est de l’Espagne, je dois sélectionner un lieu sur la carte à l’aide du stylet. Et il y a une case « Vestiaire » en bas, et si j’essayais mon nouveau t-shirt durement gagné ? Ah bah c’est toujours mieux que le débardeur « Tecktonik » que j’ignorais porter jusque-là 🙂

Alors non en fait le truc au nord de l’Espagne quand je clique sur l’icône qui ressemble euh a rien, j’apprends que c’est la salle de danse de Barcelone (et là j’ai droit à une description de la ville, c’est euh instructif. C’est donc le lieu de mon prochain cours aaah ok. Zou, mettons fin à ce suspense insoutenable.

Pas folle je prends le cours 1, ah Treaxy ! C’est mon cours de tout à l’heure ça euh ok…

Je recommence, parait-il que je manque de concentration… Bah bien sûr, j’essaie de prendre des photos de la tète de mort qui apparait quand je foire un pas ! (en vain ceci dit) Ou peut-être suis-je déconcentrée par le logo NRJ que je viens de voir dans la salle de sport !

J’ai donc rejoué, été félicitée et j’ai débloqué le look Q (loool) : une casquette … Peut-être que je peux tout débloquer en restant au cours 1, qui sait ?

Cours 2,  je dois donc toujours cliquer sur l’anneau quand il rejoint la bordure du cercle, cependant un rond se forme alors et je dois le suivre dans discontinuer jusqu’au bout de la courbe. Je viens de débloquer la crête verte et rouge, ca va nickel avec mon nouveau haut, je valide ça au vestiaire et file au cours 3. Là à priori il faut suivre les flèches rapidement, ça va… A présent, direction Rome car me voilà incollable sur la Tecktonik. Ça c’est euh quelque chose que je ne pensais pas lire un jour à mon sujet!

Mes prestations sont enregistrées et je peux voir les pas que j’ai réussi, sauf que je ne fais pas de pas moi j’appuie sur des ronds, m’enfin 🙂 (il est trop fort ce personnage, il convertit mes tapages de stylet en pas de danse !)

Alors à Rome c’est une nouvelle musique, c’est cool, va pour l’examen. Les mouvements de l’entrainement sont ralentis… Voyons comment se passe l’examen car l’entrainement je l’ai réalisé sans aucun problème (normal, les entrainements se passent au ralenti).

Il apparait une ligne sur l’écran du haut, il s’agit d’un applaudimètre, hyper sensible, si je fais 300 au lieu de 500 (le max de point par pas) l’étoile est déjà à moitié de la partie verte…

Bon je déchire tout, normal, et je dois « représenter la Tecktonik dans les 4 coins du monde youhou » Pour ce faire, j’ai le choix entre Ibiza, Paris et Londres. Autant se ridiculiser chez soi… C’est parti pour Paris. Par contre les ronds sur lesquels je dois appuyer n’apparaissant pas en rythme et n’étant absolument pas en accord avec la musique, je vais peut-être la couper…

Nous voilà (Treaxy et moi hein il ne me lâche pas) sur la place du Trocadéro. C’est parti pour l’échauffement.

Au fur et à mesure de mon aventure je débloque des slims, des t-shirts plus ou moins ridicules, des chaussures, des coupes de cheveux, des chorégraphies (que je peux aller regarder dans une galerie)… Je pense vous avoir raconté le plus gros de l’histoire. Comme à mon habitude, je vais taquiner le jeu un peu plus longtemps dans mon coin avant de donner un avis définitif !

Apres une Battle à Ibiza et un show à Piccadilly Circus, je suis passée de « Novice » à « Killer », je peux donc déjà dire que c’est sympa de voir l’adversaire danser et de pouvoir aussi voir sa prestation qui a été enregistrée lorsque je tapais sur mes ronds mais ce qu’il y a de plus sympa c’est de pouvoir passer ces animations en un coup de stylet sur l’écran ! L’applaudimètre baisse seul quand je n’ai pas de mouvement à faire c’est un peu blasant car ce n’est pas de ma faute si j’ai rien à faire…

La difficulté Deux étoiles je pense que je l’ai gérée. Il faudrait ceci dit avoir une très mauvaise coordination yeux/stylet pour foirer cette étape.

Je passe au niveau Trois étoiles avec New York, Tokyo et Berlin (la ville ou les danseurs de Tecktonik du monde entier se réunissent pour échanger des pas, à priori).

Les entrainements au ralenti sont obligatoires pour arriver à la vraie compète… Ça commence à devenir pénible.

Les personnages ne sont pas mal faits, les visages sont un peu statiques mais bon on est là pour danser pas pour collectionner les grimaces. C’est une 3D que je qualifierais de « vite fait » mais j’ai connu plus moche niveau visuel de ce type de jeu.

Trois étoiles donc, la cadence commence à augmenter sévère et il faut vraiment être concentré. Ce que je ne suis pas, on ne va pas se mentir… Que la vitesse augmente ne change pas le fait que ce qu’on me demande de faire est basique et répétitif… Pardon pour la vulgarité mais ce jeu est chiant. Je ne trouve pas d’autre mot.

Les échauffements obligatoires, ça saoule, taper sur un rond, ça gonfle, aucune réflexion, juste de la concentration… qui prend vite la tangente tellement c’est répétitif. Ok NYC c‘est diffèrent de Tokyo mais on a même pas le temps d’apprécier les changements de décors, ni le look du perso (que je peaufine pourtant régulièrement^^)…

Un jeu certainement intéressant quand on est à fond dans la Tecktonik. Et de nos jours, les passionnés de Tecktonik ça ne doit pas courir les rues. Car oui on peut apprendre et réviser des chorégraphies, des mouvements. C’est peut-être le seul intérêt d’avancer dans le jeu.

Je viens de passer à un nouveau statut, « eklesiast ». Je pense que je vais arrêter là, je crois malheureusement avoir fait le tour du jeu. Pour le coté has been surtout mais aussi pour le désintérêt total que ce jeu m’a rapidement fait sentir, je valide la vitrine de la honte !

Et je terminerai par une phrase qui me trotte dans la tête depuis le début du test, des paroles extraites de « Plus Rien Ne M’étonne » d’OrelSan « Tu connais les pas, t’espère que la Tecktonik revienne ».

Pas moi 😉 mais si elle revient, je suis parée pour réviser les pas !

REAL STORIES VETERINAIRE CHRONIQUE – DS

Lorsqu’on est coincé au lit, on se dit qu’on ne peut pas tomber plus bas… Alors quoi de pire que de chroniquer un jeu de la Vitrine de la Honte de Clem ? Rien. Ah si, une pénurie de mouchoirs ou de cookies. Ne parlons pas de malheur et découvrons donc ce que réserve cet « épisode » de la série Real Stories sur DS… Je voulais être vétérinaire quand j’étais gamine, voyons si j’aurais pu m’en sortir hehe.

Une petite musique d’ascenseur m’accueille… Bon un menu de base hein, les seules options disponibles sont le volume de la musique et des bruitages, allez, commençons une partie !

Je suis reçue par Emma, qui s’auto congratule sur son prénom… Et qui me remercie d’être venue travailler avec eux… Elle me dit que j’ai déjà un rendez-vous et que je vais pouvoir montrer mes talents. Euh je ne suis pas peintre mais veto hein. Bref là je peux choisir la « consultation », le « refuge » ou les « photos ». Euuuuh. On va prendre la consultation du coup… Ouh le beau cheval. Refuge extérieur donc, moké si tu le dis…  Je dois caresser  l’animal avant la consultation. Je ne suis pas une sauvage bien sûr que je vais lui faire des câlinous au bourricot ! Ah je peux aussi le siffler pour attirer son attention. C’est obligatoire ca ? Je me sens toujours idiote devant les débilités que peuvent nous faire faire les concepteurs de jeux tout ca pour prouver que le micro est une invention trop top sur la DS, m’enfin. « Lorsque qu’un animal reviendra, ce sera parfois diffèrent car il se souviendra de toi ».Ok je suis peut être alitée mais c’est français cette phrase ? Bon je caresse le cheval euh Cassis de son petit nom, il apprécie (la bonne nouvelle !), c’est top il est détendu, je pensais pouvoir passer la seconde et bah non ! On me propose de consulter le carnet de santé. Allez (Bon c’est intéressant surtout quand on a oublié qu’on avait un cheval devant nous mais sinon,  étape à passer à chaque fois qu’elle est proposée). Et maintenant ? Non plus, Je peux poser des questions à Emma ? Me gonfle l’autre prétentieuse là ! Trois questions vont apparaitre et je dois choisir la bonne. Tout ce suspense ! « Est-ce la première fois qu’il sera vacciné ? »  « A-t-il été vermifugé le mois précèdent comme c’est l’usage pour un cheval ? » et « Se blesse-t-il régulièrement ? » Qu’est-ce que j’en sais moi, je ne sais même pas pourquoi il est dans mon cabinet ce cheval… Il ne semblait pas blessé, va pour le vermifuge, allez. Il a été vermifugé c’est euh chouette, je vous passe le reste mais j’ai du identifier le postérieur du cheval, lui apposer un thermomètre, faire une auscultation cardiaque, respiratoire et j’ai donné mon diagnostique… Ça m’amuserait presque, tiens, héhé. Alors la récompense en bois arrive loool si j’ai réussi ma consultation j’aurais tadaaaaa une superbe photo de Cassis lol. Bon le principal c’est de réussir. Ou de participer, au choix ! J’apprends ensuite pourquoi un cheval de course doit être vacciné et comme quoi, finalement, c’est plutôt intéressant ! Et j’ai laaaa photo de Cassis ! Première consultation réussie !!

Pour tester, je vais au « refuge » où je rencontre John, qui me présente le refuge intérieur, vide pour le moment. Emma me dit « montre moi tes talents » euuuh la seule chose sur laquelle je puisse cliquer c’est « finir la journée » je vais devoir finir ma journée à montrer mes talents a Emma ? Ah non héhé elle fait un bilan et nous voilà jour n°2 !

Diiiiiirect j’enchaîne sur les consultations (genre je suis en mode professionnelle là moi) et me voilà devant Anatole le Cochon (ndlr : j’adoooore les cochons !)

Pour le moment, je peux dire que le jeu n’est pas inintéressant car il explique certains soins et examens de base pour effectuer un diagnostique. Lorsqu’on se trompe, on peut cliquer sur une autre icône ou un autre diagnostique, Betty, mon assistante, m’explique pourquoi ce n’est pas le bon choix ! Que le sujet de la médecine animale nous soit proche ou non, il faut admettre que ce n’est pas trop mal fait comme jeu, c’est plutôt instructif et nous pouvons faire bouger l’animal pour accéder aux zones à traiter.

Apres, l’écran du haut n’est qu’une succession d’images de mes interlocuteurs, lorsqu’on pointe le stylet sur quelque chose le temps de réponse assez aléatoire, ça peut être pénible ou stressant mais moi je veux juste bêtement soigner l’animal. Et la photo cadeau n’est pas très enthousiasmante. Je m’enferme dans le jeu à 100% avant de vous donner mon avis final.

Nous voilà quasiment 4h plus tard… Jeu terminé ! Je ne serais peut-être pas allée « aussi » vite si je n’avais pas vu que je n’avais que 13 journées à faire dans le catalogue photo (car oui pour moi c’est rapide de terminer un jeu en 4h, je ne suis pas une serial gameuse). Une journée se résume en quelques consultations (3 ou 4) dont parfois des urgences et aller prendre soin des petiots que j’ai dans mon refuge. « Prendre soin » c’est surtout leur donner à manger, un traitement, parfois s’amuser avec eux et les laver, selon la race et la raison de leur présence dans mon cabinet. Alors je me suis dit que quitte à avancer dans le jeu, autant gérer les 13 journées. Tout s’est bien passé, une fois que j’ai compris que je ne pouvais commencer le soin qu’une fois que le texte descriptif avait fini de s’écrire sur l’écran supérieur.

Bilan : Sur fond d’une musique dont j’aurais clairement pu me passer, j’ai appris (de façon succincte et virtuelle bien sur) à apprivoiser et soigner des chat, chien, chèvre, cochon, cheval, kangourou, lion, éléphant, aigle, perroquet, hamster, ours et autres bébêtes. Les examens sont plutôt visuellement bien faits (radiographies, vision de la zone malade à la loupe…). Petit plus, parfois une nouvelle case « Surprise » apparait. En pointant dessus, un ancien patient apparait pour me dire bonjour et prendre quelques petites caresses en passant car « en plus d’être un bon vétérinaire » je suis aussi un « véritable ami ». Oui, j’assume, ça m’a fait sourire car je me suis prise au jeu et ça me tenait à cœur de soigner ces petites bêtes malades. Par contre, il faut savoir qu’on voit les plaies et la peau tondue, les os cassés et tous les soucis de ces animaux : amés sensibles s’abstenir ! Un jeu à conseiller aux enfants vraiment intéressées par ce boulot.

A part le chapitre 11 qui ne voulait pas se lancer et le fait que parfois je n’ai pas trop compris pourquoi je n’ai pas reçu ma photo récompense et donc que je n’ai pas compris les erreurs que j’ai pu faire, j’ai passé un bon moment. Peut-être que le jeu entier d’un coup c’est un peu intense et donc on se lasse un peu de faire un énième palpé d’abdomen ou une énième piqure dans le cou. Alors ok pour les habitués de Mass Effects et même les afficionados de Mario Kart sur Wii ne vont certainement voir aucun intérêt à ce jeu. De base un adulte ne verra aucun intérêt, on ne va pas se mentir. Et 4 heures c’est un jeu plutôt court, c’est évident, mais on peut recommencer la partie et réviser les maladies les plus récurrentes chez les aigles « domestiqués ». Si on me demande mon avis, je dirais Non, pas la vitrine de la Honte, mais le gameur dans l’histoire, ce n’est pas moi 🙂

Clem : « Un jeu qui n’ira pas dans la vitrine de la honte, merci à Mélody d’y avoir passé du temps »

TEST : Astrology sur DS

Un jeu qu'on a envie de classer dans la vitrine de la honte rien qu'à sa pochette ... Mais le mérite-t-il ?

Clem m’a donné un « nouveau » jeu à chroniquer… Astrology… Bon, peut être ne mérite-t-il pas sa place dans la vitrine de la honte ! Grâce  à cette cartouche, il parait que je vais tout savoir sur mon signe astrologique (ça tombe bien car les astrologues, entre eux, ne sont pas d’accord sur mon signe… Ca peut être intéressant !), l’alignement des planètes, ma carrière et mon partenaire idéal. Je vais y découvrir mon horoscope chinois (trop classe d’être singe…) ainsi que les fleurs et les pierres qui correspondent le mieux à ma personnalité. Il y a des minis jeux qui vont me permettre de tester mes connaissances en astrologie. J’ai ça moi, des connaissances en astrologie ? Et enfin je pourrais prédire l’avenir (cool, car je ne savais pas quoi manger ce soir) et « découvrir ma compatibilité avec l’objet de mes désirs » (un pot de beurre de cacahouète?). Bon ca c’était l’intro de la notice, en gros, découvrons donc ce qui se cache dans ma DS…

Cette petite musique… On dirait un xylophone de maternelle… Booon… Je choisis ma langue…. Ah un profil à remplir ! Femme, mon prénom, mon pseudo (hein ? le prénom ne suffit pas ?), ma date de naissance, ma zone (à savoir le pays) ma latitude ?!! C’est quoi ca ? Première galère donc *va sur Google*, la longitude, l’heure, si je suis droitière…aaaah « chargement »… on va enfin pouvoir faire quelque chose…Ah non, je dois faire mon avatar…Je ne suis peut être pas douée mais j’ai mis 10 bonnes minutes à comprendre où apparaissaient les changements de tronche… Enfin ca c’est fait… Ah les vêtements *tombe*, les accessoires blaaah.

Oh alors j’ai peut être lutté mais je rentre enfin dans le vif du sujet et, fifille oblige, je trouve mon petit moi accompagné d’un scorpion et d’un singe, plutôt mignon ^^.Je clique sur « jouer » et là, mini-moi me demande si je veux l’horoscope du jour. Soyons fous ! Alors là je peux donc consulter ça, mais aussi la compatibilité, les planètes, le biorythme et le *tadaaaam* conseil du jour! J’ai le choix entre amour, travail et santé… et hop une phrase « ne vous enlisez pas dans des discutions inutiles ». Je suis seule dans une maison au fin fond de l’Ardèche, mes discussions avec le chien, bon… Il faut que j’examine attentivement une éventuelle offre d’emploi et euh et santé il faut que je me détende. En vacances ça va je devrais m’en sortir…Assez peu convaincue, je tente l’étape suivante, le biorythme Et là, je ne capte que dalle. « Interprétation : on peut diviser le graphique de la façon suivante : la partie supérieure ou positive et la partie supérieure ou négative. Lorsque les courbes sont dans la

Mouais mouais mouais ...

partie supérieure la signifie que le moment est propice à l’activité ou a l’état auxquels elles font référence… » Et plein de bla bla comme ça. Les courbes j’en ai partout, je ne comprends rien, bref je prends une photo pour vous montrer et je passe à autre chose. De fil en aiguille j’apprends que je peux partir aujourd’hui à la conquête de ma future moitié (c’est cool que je sois célibataire sinon ça aurait plus être moins fun^^) car je suis romantique à 90% aujourd’hui (oui, moi.) pour tester ma compatibilité avec quelqu’un, il faut que je fasse un profil additionnel. Et bizarrement, je n’ai pas la foi d’en faire un après avoir lutté avec le mien… Ca c’est un peu dommage… Et trouver la latitude de David Hallyday, ca m’éclate moyennement. Je teste alors l’astrologie chinoise « Elément : métal. Planète : le soleil. Couleur : noir. Qualités : le nord, la communication, l’intuition et la sensibilité. Traits de caractère : sociabilité, ingéniosité, charme et humour. Nombres : 3, 4, 5, 7, 16, 23, 34, 45 et 54. Compatibilité : rat, dragon et lapin. »  Bon ça me ressemble bien m’enfin. Je vais partir sur le test de connaissances, ca m’intrigue… Il faut que je fasse de mon mieux pour gagner une planète, youhouuu. On me demande à quelle planète on associe le cochon (et dans les réponses proposées ya pas saucisson), quels signes associe-t-on a Jupiter et à quels signes associe-t-on le feu… Euuuh…Il y a un chronomètre…Et j’ai donc perdu en 110 secondes… je suis : ignorant. Ah bah ca…Pas la peine de remuer le couteau hein… Oooh dans mon horoscope je peux cliquer sur un Ying Yang qui me dit que je suis sur la bonne voie, mais aussi, je peux cliquer sur un fortune cookie ! Oh je dois l’ouvrir avec le stylet… « Le moment est venu d’appeler des amis de longue date ». Euh merci. Je vais ensuite voir mon ascendant (que j’ai toujours cru bélier et là c’est taureau, mais ça me ressemble bien dans la description). Alors ma pierre c’est le corail (c’est une pierre ca ?) Ma fleur est un œillet… et suis un peu gavée de lire 125 descriptions là… Forces et faiblesses, les sous catégories, la vie idéale, le coté obscure… Ras le bol de lire, je tente les jeux, jeu de mémoire (visualiser des cartes et après retrouver les paires retournées), dessiner la constellation (relier quelques points entre eux), séduction, associer les signes des célébrités, mare aux nénuphars, nombres de destinée, toucher les cristaux, couleur du jour,… J’en ai marre de lire… Vous aussi ? Comme je vous comprends. Finissons-en alors ! Il s’agit d’un « jeu » plutôt ergonomique, avec une musique qui moi me stresse un peu et d’un jeu un peu fatigant quand on n’est pas passionné ni curieux et qu’on est un peu fatigué…

NDLR : Comme je suis tenace, j’ai essayé, quelques heures plus tard, de faire quelques tests. Les Forces et Faiblesses (du sagittaire, sauf que j’ai toujours le scorpion aux pieds de mini-moi doooonc j’en conclus que le jeu, lui non plus, ne sait pas à quel signe j’appartiens) me ressemblent bien, etrangement. Le « Thème Astral » est à lui seul un ravissement ! Perso, ces histoires de planètes et de maisons, m’ont rappelé les grandes heures d’Astrid, dans Animal Crossing (qu’on a toujours cru sous substances !). La « séduction » c’est juste ENORME ! Il faut choisir entre un garçon ou une fille (à draguer), le symbole du signe astro de cette personne apparait (et si, comme moi, tu ne les connais pas bah… dans le baba), et il faut choisir ses réponses en fonction du signe astro et donc de la « personnalité » liée à ce signe. Apres plusieurs essais, mon célibat est somme toute plutôt logique, je n’arrive à séduire aucun signe ! Par ailleurs, je tente les compatibilités. Je crée donc un profil entier (sans longitude ni latitude, c’est déjà ça), correspondant à ma meilleure amie. Je ne dévoilerai rien ici mais ca nous correspond plutôt pas mal ^^. Je réitère, Astrology, qu’il faut donc découvrir seul et au calme, peut être ludique et fatigant à la foi. Les « minis jeux » ne sont pas au top de la logique ni de l’ergonomie, les « révélations » sur les personnalités ne sont pas forcement bluffantes. A coté de ça, mal de crane mis à part, une fois qu’on est dedans, c’est assez sympa. Mais pas au top de l’esthétisme. Et oui, tout ce graaaand texte pour ça. Z’êtes toujours là ? : )

REAL STORIES « Amoureux pour la vie » SUR DS

Aujourd’hui, c’est moi la chroniqueuse ! En effet, en tant que meilleure amie, j’ai mis mon nez dans la vitrine de la honte de Clem et quand j’ai vu ce jeu, je n’ai pu résister ! La jaquette est pleine de promesses, certes, mais à l’arrière de celle-ci j’apprends que je vais découvrir quel est mon amoureux idéal et que pour ce faire, je dois mettre toutes les chances de mon coté et pour ceci relooker mon avatar. Tout un programme !

En bonne fifille organisée je commence par la notice. Il serait dommage que je loupe un truc. J’ai l’agréable surprise de découvrir quelque chose d’illustré, de quasi cohérent et surtout d’explicatif, quelque chose qui fait défaut, à mes yeux, de nos jours sur les notices. J’apprends donc que je vais incarner une jeune fille de 16 ans, partie en vacances avec sa copine Vanessa pour la première fois youhou ! Nan mais ne partez pas ! Je pars donc chez mon oncle mais dans un bungalow d’un complexe touristique. Bon ce n’est pas clair mais il faut savoir que mon oncle, il faut que je lui file un coup demain « surtout parce qu’il a eu dernièrement des problèmes de personnel dernièrement ». Et oui, dernièrement quoi. En gros je suis là pour bosser, dont « préparer des cocktails sans alcool » et « faire l’animatrice pour enfant avec des ballons ». Et c’est quand que je drague moi ? Aucune idée, bon j’ai plus qu’à enfourner le jeu dans ma DS et créer l’avatar qui fera tourner les têtes des mecs dans ce complexe touristique.

La photo du type qui accompagne le choix du jeu de la DS me donne envie de refermer la console mais faut que j’assume, j’ai promis à Clem de parler de ce jeu alors zou.

Les options c’est le volume de la musique et des sons comme dans la plupart des jeux pour enfants/ado, aucune surprise. J’ai le droit à 5 caractères pour le nom de mon perso, la bonne nouvelle ! J’ai le choix entre blonde ou brune… boooooon. Ah choisir mon « amoureux » on va se marrer. Ils ont tous l’air idiot ce n’est pas évident m’enfin j’ai hâte de voir le jeu donc je prends celui « avec lequel on peut s’amuser et rire beaucoup ».Ouais ca fait rêver.

Premier truc qui me saute aux yeux c’est que sur l’écran supérieur il y a une carte, avec des points d’interrogation qui me disent où je dois aller. Pratique, maiiiiis « vous êtes ici » est une notion que le concepteur du jeu a zappé. Comme celle de mettre une véritable explication pour les mini jeux… Ou une vraie raison (genre un mur) qui fait que le personnage ne peut pas aller à droite ou à gauche de l’écran au lieu de piétiner dans le vide… Le fait de pouvoir bouger le perso avec la croix ou avec le stylet, ca c’est cool. Sinon la meilleure amie qui colle au train c’est un peu pénible… D’autre part, je sais que je dois prendre soin de moi et faire attention aux différentes barres d’énergie, sport, tout ca mais je ne sais pas encore où satisfaire mes besoins, ca viendra…

J’ai fini ma première « journée » dans le complexe touristique de Tonton. Bilan : J’ai croisé le soit disant mec de mes rêves, qui m’a fait un compliment, j’ai réussi à faire tenir une assiette sur un bâton, je n’ai pas été fichue de faire un cocktail sans alcool mais j’ai géré le cours d’aérobic. Ah et on a croisé des petasses en discothèque dont une qui veut la broche de ma cops.

Bien, je vais retourner à des vraies activités moi hein ! Un vrai verre, ma vraie pote et à l’occase un vrai jeu ! Mais je me connais, je vais vouloir le finir. Promis je reviens vers vous s’il se passe vraiment quelque chose !