Pekin Express : la route de l'himalaya

Ca fait un petit moment que j’ai ce jeu sous le coude … Un petit moment que je me demande si ce jeu mérite ou pas la vitrine de la honte. Le problème c’est que je connaissais pas du tout cette émission de télé réalité. Du coup par souci de professionalisme amateur, ou par curiosité malsaine (un peu comme vous qui lisez mes tests de la vitrine de la honte), j’ai donc pris la décision de suivre les diffusions sur M6 de Pékin Express : le passager mystère. J’avoue que ce n’est pas aussi pire que je m’y attendais, et que je prends un certains plaisir à voir des gens galèrer ou s’engueuler pour une broutille. Voilà maintenant c’est fait, je me suis cramé des neurones avec ce reality show, alors est-ce que je suis encore capable de détecter un jeu vidéo honteux ? On va analyser un peu ce jeu, version « route de l’himalaya » de l’émission … La présentation ne donne pas vraiment envie, outre le présentateur vedette sur la pochette on trouve des captures d’écran qui ne donnent vraiment pas envie à l’arrière de la boite … le manuel plus que sommaire nous explique que le machin enfoncé dans la console qui pourrait etre un coton tige sans coton est en fait un stylet et que ça sert à gribouiller sur l’écran de la console, la bonne idée du manuel est de préciser que c’est l’écran du bas ! On va passer sur le résumé du scénar du jeu qui est plus court que l’article que vous êtes en train de lire …

Mettons la cartouche dans cette pauvre DSi XL qui décidément en voit passer des jeux honteux … Je vais faire très vite car ce jeu ne mérite vraiment pas qu’on lui porte un grand intérêt. Les graphismes ne sont vraiment pas dignes d’une DS, quand on voit des jeux comme ceux que produit Nintendo on se dit que les éditeurs ne font vraiment aucun effort quand ils ont décidé d’exploiter une licence. Donc graphismes dignes de votre petit neveu de 6 ans, la bande son est irritante et ne correspond pas du tout à l’émission qui nous gratifie de BO de films/jeux de qualité, le seul bon point serait les voix du présentateur qui sont de plutôt bonne qualité. Le principe même du jeu se résume à une série de minis jeux qui ont moins d’intérêt les uns que les autres, que ce soit du grattage d’écran, du « trouve la bonne couleur si tu es pas trop débile », ou du « rejoue la musique en cliquant au bon endroit » … on se lasse très vite mais le problème c’est que ces jeux reviennent sans cesse encore et encore. Les épreuves d’immunité sont un peu plus complexes mais sont sur le même principe : cliquer au bon moment ou ruiner l’écran de votre DS …

Le problème avec ces jeux DS qui ne cherchent pas à nous fournir une belle expérience de jeu, c’est qu’ils ont découvert le tactile avec cette console et qu’ils croient tous que c’est une bonne idée de gratouiller l’écran, de le frotter en boucle et sans relache … Sauf que non, ce n’est ni intéressant, ni amusant. C’est répétitif, ça réduit considérablement la durée de vie de l’écran, bref, ça vous ruine votre console et ça ne sert à rien …

Pour résumer : VITRINE DE LA HONTE APPROVED !

Real Stories Babies

Pochette du jeu

Vous voulez du test de jeu pourri, en voilà un beau !

Fait remarquable : lorsque j’ai allumé ma DS pour lancer le jeu, elle a planté pour la première fois en 4 ans. Un  bon vieux plantage comme nous faisaient les anciennes Game Boy lorsque nous lancions certaines cartouches encrassées : le logo Nintendo de démarrage s’est lancé puis a frisé en plein milieu de son affichage ! o-O

Présentation du jeu

Il s’agit d’un jeu de gestion produit par Mindscape. Le menu de démarrage présente un univers coloré à dominante rose. A l’aide d’images fixes pas spécialement belles, le mode Histoire m’apprend que je suis une apprentie nounou qui vient d’arriver dans une maison où « les parents déposent leur bébé le matin et viennent le soir le récupérer » (au cas où ça aurait été un orphelinat et non une garderie, hein). Celle-ci est constituée de plusieurs pièces : une salle commune où sont regroupés tous les bébés et plusieurs autres comportant les activités/mini-jeux. Il faut surveiller les statistiques du bébé et faire qu’ils restent au plus haut afin que le bébé ne crie pas et ne « sème la panique chez les autres bébés ». Si les parents sont contents de mon travail, plus de parents me confieront leurs bébés et je gagnerai donc plus d’expérience. J’ai par exemple obtenu la garde d’un deuxième bébé au début de la seconde journée.

Salle commune

 Je me lance enfin dans le jeu avec bébé Jack, mon premier bébé. Premier constat : mais qu’il est moche, ce bébé modélisé en 3D avec sa face toute plate, son manque de détails et ses membres pixellisés ! Je clique sur l’icône en forme de hochet pour voir ce que ça fait : j’ai des icônes avec plusieurs faces de bébé. Chacune correspond au lever en l’air, au bercement et au câlin près du corps. Cependant, impossible de le savoir avant d’avoir cliqué dessus et de toutes façons, vous voyez juste le bébé qui bouge tout seul dans les airs, les bras de la nounou n’ayant pas été modélisés ! o-O Cela ne joue en rien sur les statistiques du bébé, il y a bien des activités comme le tambourin ou le moulin à vent qui utilisent les fonctions interactives de la DS mais elles ne sont pas débloquées dès le début.

J’ai passée 3 heures à chercher une icône sur l’écran avant de comprendre que pour quitter cette activité, il faut appuyer sur le bouton Start puis sélectionner plusieurs fois « Quitter » parce que le jeu a la vitesse de détection d’un lamantin endormi… Cela me permet de voir bébé Jack au milieu de la salle commune essayant de marcher puis se retrouvant assis un peu plus loin ou encore tournant tout seul sur le sol comme s’il était assis sur une chaise tournante invisible. Pas de doute, ce bébé est possédé !
Autres salles
Il n’y a aucune indication concernant l’élément sur lequel cliquer pour lancer le mini-jeu dans chaque salle. J’ai dû cliquer à l’aveuglette avant de m’apercevoir que je n’avais encore accès à rien dans la salle d’habillage…

Concernant les autres pièces :

–         La salle de bain : il faut laver le bébé en soufflant sur les bulles de savon pour qu’elles ne lui piquent pas les yeux : par contre, l’éponge pleine de savon en plein dedans, il s’en fiche. On a beau frotter pendant 3 heures au même endroit, il y a des taches qui semblent ne pas partir et malgré ça, le jeu considère que c’est bon. M’enfin, « un bébé qui sent bon est un bébé heureux »… Vu qu’il va passer par la baignoire au moins 3 fois dans une journée, on veut bien croire !

–         La cuisine : il faut préparer le biberon (la maniabilité est très mauvaise pour la cuillère de lait en poudre et l’ajout d’eau chaude), le mélanger et le servir au bébé en le mettant dans les inclinaisons demandées. On voit parfois clairement que le biberon n’est pas dans la bouche du bébé mais bon, il est content. Pas passionnant.

–         Le jardin : il faut faire glisser le stylet dans le sens demandé par le bébé pour faire tourner le manège et on voit sur l’écran du haut s’il est content ou non. Ennuyeux.

–         La salle de jeu : il faut cliquer dans le bon ordre sur 3 instruments pour amuser bébé. Si ce n’est pas celui qu’il veut entendre, il tire la tronche. Une sorte de « Mastermind» en plus simple et plus ennuyeux

–         La chambre : LE PIRE DE TOUS ! Le matelas de bébé est tellement moche qu’on dirait une pièce de mur dans Minecraft. Il faut aider bébé à s’endormir en inclinant son berceau mais à cause de la maniabilité pourrie, on perd le rythme une fois sur 4 au début, le berceau refusant de continuer à s’incliner ! Et même quand on l’a trouvé, c’est juste ennuyeux à mourir. Le pire, c’est que si on ne berce pas assez vite, bébé tire la tronche. Mais c’est nous qui devrions tirer la tronche !

 
Et la sauvegarde, b*#@%ù ?!
 

Bon, je crois qu’il est temps de sauvegarder. Mais au fait, où est-ce qu’on sauvegarde ? C’est automatique ? Ah bah non, en revenant à l’écran titre, j’ai dû recommencer depuis le début du jeu ! Bah alors, c’est une option quelque part ?

Un gros énervement et quelques recherches sur Internet plus tard, on apprend que le jeu sauvegarde automatiquement au bout d’une journée complète dans le jeu. Et ça dure combien une journée complète ? ON N’EN SAIT RIEN ! Il n’y a aucune indication temporelle dans cette saleté de jeu. A force de persévérance à recommencer les mini-jeux quand les statistiques de bébé Jack étaient trop bas, je peux maintenant vous annoncer qu’il faut attendre une demie-heure pour que la sauvegarde soit effectuée…Argh.

 
BILAN

–         Bande son oubliable : musiques simples et bruits de bébé, sauf, le comble, dans les mini-jeux les mettant en scène

–         réactivité de l’écran tactile parfois proche de 0

–         mini jeux répétitifs, pour la plupart sans intérêt et avec une maniabilité exécrable

–         Graphismes 3D comme 2D moches

–         Pas de sauvegarde manuelle !!! o-O

–         [L’internement dans une maison de repos de la testeuse]

Oh, une cartouche qui vole!!!!

Vitrine de la honte APPROUVEE !

Jonas, ou l'enfer des stars du rock pour ado

Jonas : couvertureVoici enfin la critique tant attendue du jeu DS des Jonas Brother sorti  en 2010 ! Vous y incarnez un fan qui est invité à accompagner les Jonas dans leurs journées type de « star du rock » et de lycéens. Comme vous allez le voir, j’ai choisi de pousser le test pour ce jeu.

Jonas "Non, on n'est pas superficiel"

Graphisme et son

Sans être exceptionnel, le graphisme est très agréable pour un jeu DS bien qu’un peu raide au niveau des déplacements. La musique est de bonne qualité sonore et se laisse écouter. Les bruitages sont assez rares (bruit des objets sonores et cris des fans principalement).

Ecrans de jeu

Lors des vidéos, les personnages apparaissent en haut tandis que les dialogues s’affichent en bas. En phase de jeu, l’écran du bas sert à déplacer son personnage tandis que le plan et les objectifs de mission s’affichent sur l’écran du haut. Il est regrettable de devoir passer par le menu du PDA pour pouvoir lire tout le texte indiqué sur l’écran du haut alors qu’il aurait été si facile de le faire défiler avec les touches L et R, d’autant plus que ce texte n’apparaît qu’au début de la mission.

Quant au personnages, il est dirigé grâce au stylet : plus le stylet est déplacé près du personnage, plus celui-ci ira vite. La maniabilité est un peu dure à prendre en main : on va souvent se retrouver à parler en boucle à un personnage alors qu’on souhaitait juste le contourner pour continuer notre exploration et il est difficile de le faire marcher et non courir.

La sauvegarde de la partie s’effectue en cliquant sur les distributeurs de jus de fruits disponibles dans les différents bâtiments. Point négatif : il n’y a qu’une seule sauvegarde disponible par cartouche.

Jonas sur DS : phase d'exploration

L’univers

Seul un des 3 frères est visible à l’écran, il est possible de sélectionner chacun des frères à tout moment, chaque frère ayant ses propres points de vie et pouvoirs particuliers. Quant à la carte, elle est assez large, des endroits se débloquant au fur et à mesure du jeu. Vous n’avez accès qu’à des petites zones par écran de jeu, les autres zones étant accessibles par des zones portails qui vous y envoient dès que vous vous placez dessus. Cependant, il est souvent difficile de savoir à quel endroit exactement permettent de se rendre ces portails. Bien sûr, vous n’échapperez pas aux murs invisibles qui vous empêchent d’aller aux endroits non gérés par le jeu.

 

Système de point de vie

Chaque habit des frères a un certain nombre d’étoiles de style, les habits en ayant le plus devant être achetés à l’aide de coeurs d’or à la friperie (mais n’étant pas spécialement plus beau ou original que ceux par défaut). Chaque frère a une étoile de style général qu’il perd dès qu’un de ses vêtements est trop abîmé, trop déchiré par les fans hystériques ou salis par les pots de peinture des niveaux de plateforme. Pour les récupérer, il faut retourner à la penderie dans la demeure des Jonas, le Stellascenceur, et repriser l’accessoire à l’aide de mini-jeu. Si vous ne le faites pas, votre personnage se retrouvera en pantalon déchiré dont il ne reste que le haut et en tee-shirt ringard façon un Hulk pudique : désolée pour celles qui voulaient se rincer virtuellement l’oeil, les frères ne perdent jamais leur tee-shirt ou leur pantalon. 😉 C’est un concept que j’ai trouvé intéressant mais hélas, les mini-jeux de reprise sont parfois un peu durs à manier, ce qui gâche le plaisir. Il est par contre amusant de pouvoir faire aller votre personnage au lycée en pyjama sans que le jeu ne vous dise rien. XD Le système d’habillage est très simple puisqu’il suffit de sélectionner le personnage que l’on souhaite habiller et faire glisser le vêtement à l’endroit correspondant.

Ce qui se passe quand un Jonas perd trop de point de style. ;)Ce qui se passe quand un Jonas perd trop de point de style. ;)Les différents modes de jeu

La plupart des situations du jeu se dénoueront par des riffs, un court morceau de guitare (4 notes) qui se joue avec les 4 touches de la croix directionnelle et l’écran tactile pour gratter les cordes. Le système est assez simple à prendre en main. Pour pouvoir activer ce riff, il faut remplir la jauge Jonas en touchant les divers objets produisant du son : pour l’intérieur, grille pain, clochette, radio, guitare et pour l’extérieur, voiture ou nid d’oiseau. Une fois chargé, il peut servir à recharger les appareils électriques, à effectuer des actions demandés dans le jeu comme réveiller vos frères ou à récupérer des cœurs d’or (la monnaie du jeu) auprès des fans tout en les ralentissant. D’autres riff spéciaux servent par exemple à inverser le mouvement des objets. Des pouvoirs propres à chaque personnage apparaissent au fur et à mesure du jeu : par exemple devenir invisible pour mieux échapper aux fans ou glisser sur la peinture sans se salir et donc de ne pas perdre de point de style.

Riff de guitare

Sinon, comme vous êtes les frères Jonas dans une petite ville où toutes les ados n’ont rien de mieux à faire que de camper dans les rues à attendre que vous passiez sous leur nez à toute heure du jour ou de la nuit, chaque sortie deviendra pour vous un enfer. Dans le premier niveau, vous passerez votre temps dans de nombreux aller-retour en courant pour éviter que vos fans ne déchirent vos vêtements et gâchent votre style (mais non, les frères Jonas ne sont pas superficiels). Dès lors qu’il vous faudra des coeurs d’or, vous devrez en plus essayer d’en amener le maximum au même endroit avant d’effectuer un riff afin de récolter le maximum de coeurs simultanément. Puis vous partirez en quête d’objets sonores afin de recharger votre riff, souvent poursuivi, afin de recommencer encore et encore.

Il est assez difficile d’activer le riff avant que vos fans ne vous sautent dessus (ou par dessus, c’est selon) et leur intelligence fait qu’elles sont difficiles à rassembler. En effet, si vous allez trop vite, elles se lassent de vous courir après, il faut donc tempérer votre course. Parfois, vous pouvez tourner autour d’une de vos fans que vous voulez piéger sans qu’elle ne réagisse, les autres en profitant hélas pour vous tomber dessus. Il m’est même arrivée de traverser l’une d’elle. Enfin, les donzelles ont la mémoire courte : vous passez devant elles, l’écran devient partiellement noir pour indiquer un danger, elles vous poursuivent, vous vous rendez compte que vous n’êtes pas au bon endroit, vous faites demi-tour et repassez devant elle : elles se remettent à crier et le jeu vous indique de nouveau un danger alors qu’elles étaient derrière vous il n’y a même pas 2 secondes. Sûrement l’une des parties les plus rébarbative du jeu de mon point de vue.

En plus de ces phases de jeu, le mode histoire est ponctué de mini-jeux plus ou moins sympathiques (par exemple, faire la vaisselle pour aider maman, faire un gâteau –en y intégrant les œufs et leur coquille) et de phases de simili-plateforme qui le sont moins. En effet, le maniement pour éviter les obstacles ou bouger les objets est parfois hasardeux et rend le jeu plus difficile qu’il ne l’est : vous vous retrouverez souvent à monter sur une caisse alors que vous vouliez la pousser, le tout d’ailleurs en n’ayant qu’un demi-pied dessus ou en tombant dans la caisse suite à un bug de collision. De plus, le riff joue un rôle crucial dans ses niveaux et autant il est facile d’en trouver pour recharger dans le premier niveau, autant il devient rare dans le second… Il est déjà rageant de ne pas trop savoir où on va et de « tuer » à moitié son personnage en le faisant passer sur des flaques de peinture, ça l’est encore plus quand une fois ces obstacles passés, vous réalisez que vous n’avez plus assez d’énergie dans la jauge Jonas pour activer la porte devant vous et qu’il n’y a aucune source d’énergie autour de vous. C’est donc une partie amusante au début puis très vite gonflante car il est difficile de saisir où vous devez aller exactement et l’effet de votre riff est limité dans le temps.

Enfin, vous interprétez à la fin des niveaux une chanson des Jonas avec le même principe de jeu que pour les riff : sympathique, mais si peu exceptionnel que j’avais oublié que je l’avais fait avant de relire mes notes pour l’écriture de ce test ! O-o

Les mini-jeux et les chansons peuvent ensuite être rejoués dans un mode à part pour tenter de battre vos propres records.

Jonas sur DS : concert
L’histoire

Maintenant que je vous ai parlé de l’essentiel du système de jeu, je vais traiter du plus amusant : l’histoire. Prenons le premier niveau du mode Histoire qui s’intitule « Une vie normale » [à ne pas lire si vous ne souhaitez pas vous spoiler]. Votre mère pique une crise parce que cette nuit, vous avez pris le jet pour aller manger une pizza à Chicago et vous demande de continuer à vivre normalement malgré votre célébrité. Privé de limousine pour aller à l’école, vous devez alors y aller à pieds, à vos risques et périls étant donné les hystériques postées dans les rues dont vous devez vous tenir à distance. Arrivé à l’école en moins de 5 minutes (d’où qu’on se dit que la limousine, c’était vraiment abusé) et indemne parce que vous courez vite, votre amie Stella vous annonce que votre mère a mis de côté des vêtements pour la friperie et que vous devez les y apporter.

Un peu surpris qu’on me demande de retourner à la maison à peine arrivé au lycée et alors que je suis déjà en retard, j’y retourne pour mieux comprendre que le jeu vient d’éluder la journée de cours. Sachant qu’on vous annonce au début du jeu que vous allez aider les Jonas à gérer leur vie scolaire, c’est un peu raide. Arrivé à la friperie, votre fan ultime qui la gère a eu la bonne idée d’écrire sur le blog officiel dont elle a la gestion que vous êtes dans sa boutique et vous vous retrouvez bloqués dans la boutique. Vous essayez de vous enfuir dissimulés sous des déguisements d’infirmiers mais vos parents, inquiets que vous mettiez tant de temps à rentrer, grillent votre couverture. Votre mère vous dit qu’il aurait suffit de l’appeler et qu’elle vous aurait envoyé le Jonas Hélicoptère qui avait la place de se poser dans le jardin (ah ? Et puis, c’est pas comme si vous habitiez à  5 minutes, aussi). Au final, vu qu’ils ont envie de manger et que le dîner va refroidir, ils vous donnent en pâture aux fans à qui vous faites un concert afin qu’ils vous laissent enfin rentrer.

Jonas : "un peu de culture pop détournée"

Certes, j’ai écrit le résumé sur un ton parodique mais il décrit parfaitement les principaux évènements du premier niveau ! Personnellement, mon coup de cœur est pour le début du second niveau lorsque l’on m’envoie à la friperie aller chercher des œufs et du lait pour faire un gâteau à ma mère ! On m’explique après coup que notre fan numéro 1 en a forcément en réserve puisqu’elle dirige le club de pâtisserie, mais tout de même, surtout que vous vous retrouvez au centre commercial quelques étapes après. J’ai aussi adoré aller demander de l’aide à Stella qui se trouvait au lycée, à première vue pour suivre ses cours, alors que je glandouillais à la maison à faire un gâteau et que je suis sensé être lycéen comme elle…

Jonas : "Des fois, on se goure un peu dans le nom des choses"
Récapitulatif des points positifs et négatifs
Note : pour effectuer ce test, je me suis arrêtée au milieu du 2ème niveau, il peut donc être incomplet.
Points positifs
–         Bonnes idées dans le gameplay que ce soit pour la gestion des points de vie ou la récupération de l’argent
–         Peut sans aucun problème plaire aux fans des Jonas Brothers
–         Système de jeu musical sympathique même si déjà vu
–         Graphismes et bande sonore plaisants
–         Humour volontaire dans les dialogues des Jonas et le scénario
Points négatifs
–         Humour involontaire dans les dialogues des Jonas et le scénario
–         Une seule sauvegarde disponible
–         Maniabilité trop aléatoire au sein même des mini-jeux (reprise des vêtements) ou du jeu principal qui accroît artificiellement la difficulté du jeu
–         Action trop répétitive dans les phases de plateforme ou de récupération de l’argent
Verdict inattendu : il est trop bon pour faire partie de la vitrine de la Honte, et pas assez pour être un jeu notable. Pour les fans, il peut même être bon. Libre à vous maintenant de tester le jeu pour vous faire votre propre opinion, si le cœur vous en dit. 🙂

Ridge Racer !

Un jeu qui sert souvent pour les line up de départ des nouvelles consoles, et encore une fois on ne change pas une équipe qui gagne Sony et Namco bien entendu. Ridge racer sera donc de la partie fin février pour le lancement de la PS Vita, et il fera partie des premiers jeux que je vais prendre sur ma future PS Vita. J’ai aimé quasiment tous les épisodes de la série au double R, mis à part celui de la 3DS, et je pense que celui qui arrive va faire un carton … Voici donc à quoi ça va ressembler …

RIDGE RACER Unbounded

Pareil que pour Saint Seiya, Namco nous livre quelques écrans supplémentaire pour une autre franchise mythique … RIDGE RACER Unbounded ! Je vous laisse juger … Sortie prévue le 02/03/2012 …