Japan Expo/Comic Con 2012

Du 05 au 08 juillet 2012 avait lieu la 13ème manifestation de Japan Expo et la 4ème du Comic Con français

Tout d’abord, pour les personnes ne connaissant pas ces événements, Japan Expo est un salon constitué principalement d’échoppes tournant autour du japon (vêtements, figurines, nourriture, jeux-vidéo, musique, mangas et animés) et d’animations sur le même thème : mini-concert, ateliers créatifs, défilé, concours de cosplay. Comic Con, qui a lieu conjointement et au même endroit,  est son équivalent en plus petit, plus basé sur les activités geek : jeux vidéo, comics, science-fiction,  jeu de rôle et websérie. C’est souvent l’occasion pour des dizaines de milliers de fans d’assister à des conférences de grands créateurs, dessinateurs ou musiciens et de faire dédicacer leur oeuvre. C’est aussi l’occasion pour eux de dilapider leur argent durement gagné tout au long de l’année et de prendre un énorme bain de foule, celle-ci étant de plus en plus nombreuse au fil des années. Alors, quoi de neuf pour cette nouvelle édition de ces 2 festivals ?

Bien que je n’aie pas assisté aux divers événements auxquels ils participaient, il y avait du beau monde cette année : Alexandre Astier, le créateur de Bref, le compositeur des musiques de Kingdom Heart du côté de Comic Con et Urusawa (20th Century Boys), Kishimoto (créateur du jeu Double Dragon) et Flow (groupe musical à l’origine de beaucoup de générique d’animés actuellement) du côté de Japan Expo, pour ne citer qu’eux. On retrouvait aussi d’autres personnalités comme le Joueur de Grenier.

Concernant les boutiques et les stands côté Comic Con, rien de bien neuf, hélas, à part la disparition du stand Sega, suite à la fermeture prévue de Sega France. Le stand Nintendo, plus immense que jamais, accueillait les démos jouables du dernier opus de Layton sur 3DS XL, Kingdom Hearts Dream Drop Distance sur 3DS et Beat the beat sur Wii. Il était aussi possible de tester le jeu « Spirit Camera » sur 3DS. Des tournois de Mario Tennis ainsi que de Mario Kart y étaient organisés. Il était possible de se faire photographier gratuitement avec le pokémon de son choix grâce à la technologie des cartes à réalité augmentée à grand format. Toujours concernant Pokémon, on pouvait récupérer près du stand grâce à la technologie sans fil un Pikachu niveau 100. Bien que gadget, ces fonctionnalités très sympathiques donnaient envie de visiter le stand.

Namco-Bandaï de son côté proposait des démos jouables de Ninokuni sur PS3 ainsi que du nouveau Dragon Ball sur Kinect et Tekken Tag Tournament 2 sur PS3. A l’occasion du nouveau jeu Naruto, la tête d’un gigantesque et impressionnant Kyuubi (le renard légendaire à 9 queues) surveillait les visiteurs depuis sa cage.

Le stand d’Ankama proposait de jouer à ses jeux en ligne dans un décor superbe à l’aspect de leurs jeux.

Sur le stand de Square Enix situé côté Japan Expo, on pouvait tester sur 3DS Heroes of Ruins et le splendide Theathrythm Final Fantasy. Il était par ailleurs possible de l’acheter à prix réduit sur le salon et de recevoir un stylet personnalisable exclusif. Très bonne intention qui a dû booster les ventes, d’autant plus que le jeu est assez addictif, même pour les personnes n’ayant jamais joué à un FF, du fait de son aspect jeu musical qui le rend plus accessible et plus attractif pour les joueurs occasionnels.
Concernant les stands plus petits, il y avait pas mal d’associations proposant des jeux rétros ou des jeux de danse type DDR ou Dance Central. MO5.com était bien entendu présent et proposait un large choix de jeux lié à la vitesse sur son stand : borne Outrun, Mario Kart sur NES, Podracer sur PS1, Crazy Taxi sur Dreamcast ou Space Harrier sur Master System pour ne citer que ceux-là. Preuve que le rétrogaming fonctionne bien, le stand n’était jamais vide
Concernant les divers événements, il y a eu Marcus qui a tourné ses habituels Chez Marcus de Japan Expo, l’un sur le module Danse de Star Wars Kinect et l’autre en compétition avec le Joueur de Grenier. Comme à chacune de ses visites à Japan Expo, il a passé de longues heures en séance de dédicaces, tout comme le Joueur du Grenier même si c’était à moindre mesure.
Enfin, concernant les stands, on pouvait retrouver quelques vendeurs de rétrogaming et surtout les stands de IG Magazine et Pix’N Love, publications dédiées à l’univers des jeux vidéo.
Voici pour un panorama rapide du Comic Con France où était concentré l’essentiel des nouveautés ou tests jeux vidéo. Il ne se veut pas exhaustif : par conséquent, si j’ai oublié un stand ou des jeux qui vous ont marqué, n’hésitez pas à m’en faire part via un commentaire.

Camilla Luddington prêtera sa voix à Lara Croft

Square Enix Ltd., annonce aujourd’hui que l’actrice anglaise Camilla Luddington a été choisie pour prêter sa voix à Lara Croft, la célèbre aventurière, dans le nouveau Tomb Raider. Après avoir recherché des acteurs talentueux en Europe et aux États-Unis, Luddington s’est démarquée par la jeunesse de sa voix et la profondeur des émotions qu’elle inspire, des qualités nécessaires pour incarner Lara Croft dans la réinvention de la série Tomb Raider. Darrell Gallagher, chef de Studio pour Crystal Dynamics, commente : « Il était crucial pour nous de réaliser ce travail correctement. Ce Tomb Raider est très différent des autres, et compte tenu de la nouvelle direction de la franchise, nous demandons bien plus au doublage qu’auparavant. » En juillet, Luddington participera également au Nerd HQ et au Comic-Con de San Diego, où elle rejoindra l’équipe de développement pour parler de Tomb Raider et des coulisses de sa création. Récemment, Luddington a joué dans la série à succès de Showtime, Californication, et apparaît également dans la saison actuelle de True Blood, la série de HBO.

La sortie de Tomb Raider est prévue pour le 5 mars 2013.

Real Stories Babies

Pochette du jeu

Vous voulez du test de jeu pourri, en voilà un beau !

Fait remarquable : lorsque j’ai allumé ma DS pour lancer le jeu, elle a planté pour la première fois en 4 ans. Un  bon vieux plantage comme nous faisaient les anciennes Game Boy lorsque nous lancions certaines cartouches encrassées : le logo Nintendo de démarrage s’est lancé puis a frisé en plein milieu de son affichage ! o-O

Présentation du jeu

Il s’agit d’un jeu de gestion produit par Mindscape. Le menu de démarrage présente un univers coloré à dominante rose. A l’aide d’images fixes pas spécialement belles, le mode Histoire m’apprend que je suis une apprentie nounou qui vient d’arriver dans une maison où « les parents déposent leur bébé le matin et viennent le soir le récupérer » (au cas où ça aurait été un orphelinat et non une garderie, hein). Celle-ci est constituée de plusieurs pièces : une salle commune où sont regroupés tous les bébés et plusieurs autres comportant les activités/mini-jeux. Il faut surveiller les statistiques du bébé et faire qu’ils restent au plus haut afin que le bébé ne crie pas et ne « sème la panique chez les autres bébés ». Si les parents sont contents de mon travail, plus de parents me confieront leurs bébés et je gagnerai donc plus d’expérience. J’ai par exemple obtenu la garde d’un deuxième bébé au début de la seconde journée.

Salle commune

 Je me lance enfin dans le jeu avec bébé Jack, mon premier bébé. Premier constat : mais qu’il est moche, ce bébé modélisé en 3D avec sa face toute plate, son manque de détails et ses membres pixellisés ! Je clique sur l’icône en forme de hochet pour voir ce que ça fait : j’ai des icônes avec plusieurs faces de bébé. Chacune correspond au lever en l’air, au bercement et au câlin près du corps. Cependant, impossible de le savoir avant d’avoir cliqué dessus et de toutes façons, vous voyez juste le bébé qui bouge tout seul dans les airs, les bras de la nounou n’ayant pas été modélisés ! o-O Cela ne joue en rien sur les statistiques du bébé, il y a bien des activités comme le tambourin ou le moulin à vent qui utilisent les fonctions interactives de la DS mais elles ne sont pas débloquées dès le début.

J’ai passée 3 heures à chercher une icône sur l’écran avant de comprendre que pour quitter cette activité, il faut appuyer sur le bouton Start puis sélectionner plusieurs fois « Quitter » parce que le jeu a la vitesse de détection d’un lamantin endormi… Cela me permet de voir bébé Jack au milieu de la salle commune essayant de marcher puis se retrouvant assis un peu plus loin ou encore tournant tout seul sur le sol comme s’il était assis sur une chaise tournante invisible. Pas de doute, ce bébé est possédé !
Autres salles
Il n’y a aucune indication concernant l’élément sur lequel cliquer pour lancer le mini-jeu dans chaque salle. J’ai dû cliquer à l’aveuglette avant de m’apercevoir que je n’avais encore accès à rien dans la salle d’habillage…

Concernant les autres pièces :

–         La salle de bain : il faut laver le bébé en soufflant sur les bulles de savon pour qu’elles ne lui piquent pas les yeux : par contre, l’éponge pleine de savon en plein dedans, il s’en fiche. On a beau frotter pendant 3 heures au même endroit, il y a des taches qui semblent ne pas partir et malgré ça, le jeu considère que c’est bon. M’enfin, « un bébé qui sent bon est un bébé heureux »… Vu qu’il va passer par la baignoire au moins 3 fois dans une journée, on veut bien croire !

–         La cuisine : il faut préparer le biberon (la maniabilité est très mauvaise pour la cuillère de lait en poudre et l’ajout d’eau chaude), le mélanger et le servir au bébé en le mettant dans les inclinaisons demandées. On voit parfois clairement que le biberon n’est pas dans la bouche du bébé mais bon, il est content. Pas passionnant.

–         Le jardin : il faut faire glisser le stylet dans le sens demandé par le bébé pour faire tourner le manège et on voit sur l’écran du haut s’il est content ou non. Ennuyeux.

–         La salle de jeu : il faut cliquer dans le bon ordre sur 3 instruments pour amuser bébé. Si ce n’est pas celui qu’il veut entendre, il tire la tronche. Une sorte de « Mastermind» en plus simple et plus ennuyeux

–         La chambre : LE PIRE DE TOUS ! Le matelas de bébé est tellement moche qu’on dirait une pièce de mur dans Minecraft. Il faut aider bébé à s’endormir en inclinant son berceau mais à cause de la maniabilité pourrie, on perd le rythme une fois sur 4 au début, le berceau refusant de continuer à s’incliner ! Et même quand on l’a trouvé, c’est juste ennuyeux à mourir. Le pire, c’est que si on ne berce pas assez vite, bébé tire la tronche. Mais c’est nous qui devrions tirer la tronche !

 
Et la sauvegarde, b*#@%ù ?!
 

Bon, je crois qu’il est temps de sauvegarder. Mais au fait, où est-ce qu’on sauvegarde ? C’est automatique ? Ah bah non, en revenant à l’écran titre, j’ai dû recommencer depuis le début du jeu ! Bah alors, c’est une option quelque part ?

Un gros énervement et quelques recherches sur Internet plus tard, on apprend que le jeu sauvegarde automatiquement au bout d’une journée complète dans le jeu. Et ça dure combien une journée complète ? ON N’EN SAIT RIEN ! Il n’y a aucune indication temporelle dans cette saleté de jeu. A force de persévérance à recommencer les mini-jeux quand les statistiques de bébé Jack étaient trop bas, je peux maintenant vous annoncer qu’il faut attendre une demie-heure pour que la sauvegarde soit effectuée…Argh.

 
BILAN

–         Bande son oubliable : musiques simples et bruits de bébé, sauf, le comble, dans les mini-jeux les mettant en scène

–         réactivité de l’écran tactile parfois proche de 0

–         mini jeux répétitifs, pour la plupart sans intérêt et avec une maniabilité exécrable

–         Graphismes 3D comme 2D moches

–         Pas de sauvegarde manuelle !!! o-O

–         [L’internement dans une maison de repos de la testeuse]

Oh, une cartouche qui vole!!!!

Vitrine de la honte APPROUVEE !

Jonas, ou l'enfer des stars du rock pour ado

Jonas : couvertureVoici enfin la critique tant attendue du jeu DS des Jonas Brother sorti  en 2010 ! Vous y incarnez un fan qui est invité à accompagner les Jonas dans leurs journées type de « star du rock » et de lycéens. Comme vous allez le voir, j’ai choisi de pousser le test pour ce jeu.

Jonas "Non, on n'est pas superficiel"

Graphisme et son

Sans être exceptionnel, le graphisme est très agréable pour un jeu DS bien qu’un peu raide au niveau des déplacements. La musique est de bonne qualité sonore et se laisse écouter. Les bruitages sont assez rares (bruit des objets sonores et cris des fans principalement).

Ecrans de jeu

Lors des vidéos, les personnages apparaissent en haut tandis que les dialogues s’affichent en bas. En phase de jeu, l’écran du bas sert à déplacer son personnage tandis que le plan et les objectifs de mission s’affichent sur l’écran du haut. Il est regrettable de devoir passer par le menu du PDA pour pouvoir lire tout le texte indiqué sur l’écran du haut alors qu’il aurait été si facile de le faire défiler avec les touches L et R, d’autant plus que ce texte n’apparaît qu’au début de la mission.

Quant au personnages, il est dirigé grâce au stylet : plus le stylet est déplacé près du personnage, plus celui-ci ira vite. La maniabilité est un peu dure à prendre en main : on va souvent se retrouver à parler en boucle à un personnage alors qu’on souhaitait juste le contourner pour continuer notre exploration et il est difficile de le faire marcher et non courir.

La sauvegarde de la partie s’effectue en cliquant sur les distributeurs de jus de fruits disponibles dans les différents bâtiments. Point négatif : il n’y a qu’une seule sauvegarde disponible par cartouche.

Jonas sur DS : phase d'exploration

L’univers

Seul un des 3 frères est visible à l’écran, il est possible de sélectionner chacun des frères à tout moment, chaque frère ayant ses propres points de vie et pouvoirs particuliers. Quant à la carte, elle est assez large, des endroits se débloquant au fur et à mesure du jeu. Vous n’avez accès qu’à des petites zones par écran de jeu, les autres zones étant accessibles par des zones portails qui vous y envoient dès que vous vous placez dessus. Cependant, il est souvent difficile de savoir à quel endroit exactement permettent de se rendre ces portails. Bien sûr, vous n’échapperez pas aux murs invisibles qui vous empêchent d’aller aux endroits non gérés par le jeu.

 

Système de point de vie

Chaque habit des frères a un certain nombre d’étoiles de style, les habits en ayant le plus devant être achetés à l’aide de coeurs d’or à la friperie (mais n’étant pas spécialement plus beau ou original que ceux par défaut). Chaque frère a une étoile de style général qu’il perd dès qu’un de ses vêtements est trop abîmé, trop déchiré par les fans hystériques ou salis par les pots de peinture des niveaux de plateforme. Pour les récupérer, il faut retourner à la penderie dans la demeure des Jonas, le Stellascenceur, et repriser l’accessoire à l’aide de mini-jeu. Si vous ne le faites pas, votre personnage se retrouvera en pantalon déchiré dont il ne reste que le haut et en tee-shirt ringard façon un Hulk pudique : désolée pour celles qui voulaient se rincer virtuellement l’oeil, les frères ne perdent jamais leur tee-shirt ou leur pantalon. 😉 C’est un concept que j’ai trouvé intéressant mais hélas, les mini-jeux de reprise sont parfois un peu durs à manier, ce qui gâche le plaisir. Il est par contre amusant de pouvoir faire aller votre personnage au lycée en pyjama sans que le jeu ne vous dise rien. XD Le système d’habillage est très simple puisqu’il suffit de sélectionner le personnage que l’on souhaite habiller et faire glisser le vêtement à l’endroit correspondant.

Ce qui se passe quand un Jonas perd trop de point de style. ;)Ce qui se passe quand un Jonas perd trop de point de style. ;)Les différents modes de jeu

La plupart des situations du jeu se dénoueront par des riffs, un court morceau de guitare (4 notes) qui se joue avec les 4 touches de la croix directionnelle et l’écran tactile pour gratter les cordes. Le système est assez simple à prendre en main. Pour pouvoir activer ce riff, il faut remplir la jauge Jonas en touchant les divers objets produisant du son : pour l’intérieur, grille pain, clochette, radio, guitare et pour l’extérieur, voiture ou nid d’oiseau. Une fois chargé, il peut servir à recharger les appareils électriques, à effectuer des actions demandés dans le jeu comme réveiller vos frères ou à récupérer des cœurs d’or (la monnaie du jeu) auprès des fans tout en les ralentissant. D’autres riff spéciaux servent par exemple à inverser le mouvement des objets. Des pouvoirs propres à chaque personnage apparaissent au fur et à mesure du jeu : par exemple devenir invisible pour mieux échapper aux fans ou glisser sur la peinture sans se salir et donc de ne pas perdre de point de style.

Riff de guitare

Sinon, comme vous êtes les frères Jonas dans une petite ville où toutes les ados n’ont rien de mieux à faire que de camper dans les rues à attendre que vous passiez sous leur nez à toute heure du jour ou de la nuit, chaque sortie deviendra pour vous un enfer. Dans le premier niveau, vous passerez votre temps dans de nombreux aller-retour en courant pour éviter que vos fans ne déchirent vos vêtements et gâchent votre style (mais non, les frères Jonas ne sont pas superficiels). Dès lors qu’il vous faudra des coeurs d’or, vous devrez en plus essayer d’en amener le maximum au même endroit avant d’effectuer un riff afin de récolter le maximum de coeurs simultanément. Puis vous partirez en quête d’objets sonores afin de recharger votre riff, souvent poursuivi, afin de recommencer encore et encore.

Il est assez difficile d’activer le riff avant que vos fans ne vous sautent dessus (ou par dessus, c’est selon) et leur intelligence fait qu’elles sont difficiles à rassembler. En effet, si vous allez trop vite, elles se lassent de vous courir après, il faut donc tempérer votre course. Parfois, vous pouvez tourner autour d’une de vos fans que vous voulez piéger sans qu’elle ne réagisse, les autres en profitant hélas pour vous tomber dessus. Il m’est même arrivée de traverser l’une d’elle. Enfin, les donzelles ont la mémoire courte : vous passez devant elles, l’écran devient partiellement noir pour indiquer un danger, elles vous poursuivent, vous vous rendez compte que vous n’êtes pas au bon endroit, vous faites demi-tour et repassez devant elle : elles se remettent à crier et le jeu vous indique de nouveau un danger alors qu’elles étaient derrière vous il n’y a même pas 2 secondes. Sûrement l’une des parties les plus rébarbative du jeu de mon point de vue.

En plus de ces phases de jeu, le mode histoire est ponctué de mini-jeux plus ou moins sympathiques (par exemple, faire la vaisselle pour aider maman, faire un gâteau –en y intégrant les œufs et leur coquille) et de phases de simili-plateforme qui le sont moins. En effet, le maniement pour éviter les obstacles ou bouger les objets est parfois hasardeux et rend le jeu plus difficile qu’il ne l’est : vous vous retrouverez souvent à monter sur une caisse alors que vous vouliez la pousser, le tout d’ailleurs en n’ayant qu’un demi-pied dessus ou en tombant dans la caisse suite à un bug de collision. De plus, le riff joue un rôle crucial dans ses niveaux et autant il est facile d’en trouver pour recharger dans le premier niveau, autant il devient rare dans le second… Il est déjà rageant de ne pas trop savoir où on va et de « tuer » à moitié son personnage en le faisant passer sur des flaques de peinture, ça l’est encore plus quand une fois ces obstacles passés, vous réalisez que vous n’avez plus assez d’énergie dans la jauge Jonas pour activer la porte devant vous et qu’il n’y a aucune source d’énergie autour de vous. C’est donc une partie amusante au début puis très vite gonflante car il est difficile de saisir où vous devez aller exactement et l’effet de votre riff est limité dans le temps.

Enfin, vous interprétez à la fin des niveaux une chanson des Jonas avec le même principe de jeu que pour les riff : sympathique, mais si peu exceptionnel que j’avais oublié que je l’avais fait avant de relire mes notes pour l’écriture de ce test ! O-o

Les mini-jeux et les chansons peuvent ensuite être rejoués dans un mode à part pour tenter de battre vos propres records.

Jonas sur DS : concert
L’histoire

Maintenant que je vous ai parlé de l’essentiel du système de jeu, je vais traiter du plus amusant : l’histoire. Prenons le premier niveau du mode Histoire qui s’intitule « Une vie normale » [à ne pas lire si vous ne souhaitez pas vous spoiler]. Votre mère pique une crise parce que cette nuit, vous avez pris le jet pour aller manger une pizza à Chicago et vous demande de continuer à vivre normalement malgré votre célébrité. Privé de limousine pour aller à l’école, vous devez alors y aller à pieds, à vos risques et périls étant donné les hystériques postées dans les rues dont vous devez vous tenir à distance. Arrivé à l’école en moins de 5 minutes (d’où qu’on se dit que la limousine, c’était vraiment abusé) et indemne parce que vous courez vite, votre amie Stella vous annonce que votre mère a mis de côté des vêtements pour la friperie et que vous devez les y apporter.

Un peu surpris qu’on me demande de retourner à la maison à peine arrivé au lycée et alors que je suis déjà en retard, j’y retourne pour mieux comprendre que le jeu vient d’éluder la journée de cours. Sachant qu’on vous annonce au début du jeu que vous allez aider les Jonas à gérer leur vie scolaire, c’est un peu raide. Arrivé à la friperie, votre fan ultime qui la gère a eu la bonne idée d’écrire sur le blog officiel dont elle a la gestion que vous êtes dans sa boutique et vous vous retrouvez bloqués dans la boutique. Vous essayez de vous enfuir dissimulés sous des déguisements d’infirmiers mais vos parents, inquiets que vous mettiez tant de temps à rentrer, grillent votre couverture. Votre mère vous dit qu’il aurait suffit de l’appeler et qu’elle vous aurait envoyé le Jonas Hélicoptère qui avait la place de se poser dans le jardin (ah ? Et puis, c’est pas comme si vous habitiez à  5 minutes, aussi). Au final, vu qu’ils ont envie de manger et que le dîner va refroidir, ils vous donnent en pâture aux fans à qui vous faites un concert afin qu’ils vous laissent enfin rentrer.

Jonas : "un peu de culture pop détournée"

Certes, j’ai écrit le résumé sur un ton parodique mais il décrit parfaitement les principaux évènements du premier niveau ! Personnellement, mon coup de cœur est pour le début du second niveau lorsque l’on m’envoie à la friperie aller chercher des œufs et du lait pour faire un gâteau à ma mère ! On m’explique après coup que notre fan numéro 1 en a forcément en réserve puisqu’elle dirige le club de pâtisserie, mais tout de même, surtout que vous vous retrouvez au centre commercial quelques étapes après. J’ai aussi adoré aller demander de l’aide à Stella qui se trouvait au lycée, à première vue pour suivre ses cours, alors que je glandouillais à la maison à faire un gâteau et que je suis sensé être lycéen comme elle…

Jonas : "Des fois, on se goure un peu dans le nom des choses"
Récapitulatif des points positifs et négatifs
Note : pour effectuer ce test, je me suis arrêtée au milieu du 2ème niveau, il peut donc être incomplet.
Points positifs
–         Bonnes idées dans le gameplay que ce soit pour la gestion des points de vie ou la récupération de l’argent
–         Peut sans aucun problème plaire aux fans des Jonas Brothers
–         Système de jeu musical sympathique même si déjà vu
–         Graphismes et bande sonore plaisants
–         Humour volontaire dans les dialogues des Jonas et le scénario
Points négatifs
–         Humour involontaire dans les dialogues des Jonas et le scénario
–         Une seule sauvegarde disponible
–         Maniabilité trop aléatoire au sein même des mini-jeux (reprise des vêtements) ou du jeu principal qui accroît artificiellement la difficulté du jeu
–         Action trop répétitive dans les phases de plateforme ou de récupération de l’argent
Verdict inattendu : il est trop bon pour faire partie de la vitrine de la Honte, et pas assez pour être un jeu notable. Pour les fans, il peut même être bon. Libre à vous maintenant de tester le jeu pour vous faire votre propre opinion, si le cœur vous en dit. 🙂

Kaeloo, une série à suivre…

J’ai assisté le 24 avril , au studio des Ursulines  pas très loin du Parc de Luxembourg à Paris, à la soirée spéciale Kaeloo. A cette occasion, nous avons pu visionner des épisodes de la saison 1 en qualité HD sur grand écran ainsi qu’un épisode inédit de la saison 2 sous forme de storyboard. Nous avons eu le droit à un quizz permettant d’obtenir des goodies, des révélations sur la saison 2 et des échanges sympathiques avec toute l’équipe, des voix des personnages aux scénaristes, animateurs et producteurs. Une très bonne soirée qui nous a permis de prolonger le plaisir de la série pour laquelle on remercie encore toute l’équipe ainsi que celle du cinéma. 🙂
Soirée Kaeloo du 24/03/2012
A cette occasion, je souhaitais mettre en avant cette petite série animée fort sympathique dont la deuxième saison débutera en septembre 2012 sur Canal+ Family. Diffusée dans l’après-midi à des horaires jeunesse sur cette chaîne et constituée d’épisodes courts (7 minutes), cette série suit les aventures de personnages totalement loufoques habitant au Pays Trop Mignon et dont la principale occupation consiste à trouver des idées de jeux (tous les titres d’épisodes commençant d’ailleurs par « Et si on jouait à… »). L’animation est en 3D très agréable et dépouillée et l’univers est très coloré. Les personnages ont des expressions très proches des personnages d’animés ce qui les rend attachants.
Avec cette description, on pourrait penser qu’il s’agit d’un bête dessin animé à destination d’un public très jeune. Mais c’est là la force de Kaeloo : il s’adresse aussi bien aux enfants qu’à un public plus mature de par ses nombreuses références à la culture pop et/ou geek. D’ailleurs, à la surprise de l’équipe, 95% du public de la soirée avait plus de 20 ans. Au delà des références aux films (Pulp Fiction, les vieux westerns, Harry Potter) ou à la culture de notre époque (Face de Bouc,  les jeux de cartes type Magic, les comics), la série accroche surtout par ses personnages. Kaeloo est une grenouille kawaïï qui se transforme quand elle s’énerve, à l’instar d’un célèbre héros de Marvel, en grenouille géante à la force surhumaine dont la colère retombe souvent sur ses amis. M. Chat est un sadique, dont la passion principale est les armes, et le but dans la vie de torturer et d’essayer de tuer Coin-Coin. Coin-Coin est un canard à l’allure de créature de Frankenstein, due à son séjour dans un laboratoire avant son arrivée au Pays Trop Mignon, qui ne s’exprime que par « Coin » et voue une fascination pour les yaourts. Enfin, le dernier protagoniste est Moignon, un écureuil hystérique fan de comics. Des images valant mieux qu’un déjà long discours, je vous invite à visionner les épisodes suivants :
– le pilote « 1,2,3 je te saigne » tel que présenté au Festival d’Annecy en 2008 :




– l’épisode « Et si on jouait au prince charmant » proposé en version intégrale par le studio Cube :



– « Kaeloo, dessine comme un boss » qui est un petit extra qui a été présenté à la soirée décrite plus haut :



Plus d’épisodes peuvent être vus sur YouTube dans une qualité plus ou moins inégale, le studio ayant les moyens pour le moment de ne mettre que quelques épisodes en intégral et proposant surtout des extraits. Une très bonne page Facebook officielle permet de se tenir au courant des nouveautés sur la série et de découvrir le nouveaux épisodes en version intégrale dès qu’ils sont disponibles (tapez Kaeloo dans le moteur de recherche Facebook).
Si vous aimez ce que vous avez vu de la série, n’hésitez surtout pas à cliquer sur « J’aime » sur la page officielle : plus de personnes seront présentes sur la page, moins les producteurs rencontreront de problème pour sortir les DVD à la fin de l’année comme il est prévu. J’avoue que j’attends ça avec impatience. 😀
 
 
 

"Deviens Miss France" (ou pas)

Aujourd’hui, j’ai testé pour vous un jeu à destination de la vitrine de la Honte : « Deviens Miss France ». Edité par Micro Application en 2007 sur DS, ce jeu vous propose (en théorie) d’incarner une jeune fille dans sa quête vers l’ultime marche du podium et la gloire sans équivalent d’être nommée « Cru… », pardon « Miss France ». C’est donc logiquement que je m’attendais à un jeu me permettant de créer des vêtements pour ma miss, la maquiller et… et pas grand chose d’autre en fait.

1ère étape : il vous est proposé de personnaliser votre personnage. Bon, on n’est pas dans Soul Calibur 5 non plus : ça se limite à 3 tailles et coupes de cheveux, 4 couleurs de peau (même si je n’ai personnellement jamais vu de candidate Miss France asiatique, le jeu est beaucoup plus ouvert que la vraie compétition) ainsi que 4 couleurs de cheveux et de yeux. Bref, c’est très sommaire et vite expédié et de toutes façons, votre personnage est modélisé de façon tellement basique que ça ne change pas grand chose à la donne.

Mon perso de jeu. Trop classe, hein ?

Comme je suis une ouf dans ma tête, je lance le jeu directement en niveau moyen. Dans un menu pastel, j’ai accès à plusieurs activités : « Vélo 1 », « Chez le coiffeur 1 », « Culture générale 1 », « Maquille ta miss », » Soirée déguisée », etc.

Ecran de démarrage des jeux

Je choisis « Haltères ». Se lance alors une petite cinématique digne du dessin animé en flash des Blondes (lol) puis un mini-jeu qui, surprise, se révèle être un jeu de rythme ! A la façon d’un Elite Beat Agent, on vous demande de taper dans les temps et dans l’ordre sur des formes, ici en forme de fleurs, coeurs et étoiles. Là où le bât blesse, c’est qu’au contraire de ce dernier, ce jeu est injouable et moche : la façon dont il faut taper les formes ne correspond absolument pas au rythme de la musique, et la petite scène qui accompagne notre performance sur l’écran supérieur est sans intérêt et se contente de marquer un point d’exclamation lorsque l’on fait trop de ratés (ce qui arrive vite). Un peu refroidie par le mini-jeu, je décide de tester « Chez le Coiffeur 1 » et là, nouvelle surprise : c’est EXACTEMENT le même mini-jeu avec d’autres cinématiques moches ! Pareil pour « Soirée déguisée » alors que ça commençait bien : on voyait notre héroïne se mettre à créer notre costume, ça aurait pu donner un bon mini-jeu où à l’aide du stylet, il aurait fallu choisir le tissu, le coudre.. Hé ben non, toujours des musiques qui semblent identiques les unes aux autres et le même jeu quasiment injouable !

Mini-jeu "Haltères"Mini-jeu "Haltères"Mini jeu "coiffeur" : impression de déjà-vu...

Plus vraiment convaincue, je choisis le jeu « Culture Générale » : encore un jeu de ry… ah, bah non, ici, on nous propose de répondre à quelques questions de culture générale sous forme de QCM soit écrit (par exemple « où se trouve le siège du Parlement Européen ») soit une icône à placer sur un des 4 points sur une carte (mais encore faut-il deviner ce que celui-ci est censé représenter…). Histoire de me dégoûter, le jeu m’apprend que non seulement je ne sais pas taper en rythme (à se demander comment j’ai pu atteindre le niveau 16 à Elite Beat Agent) ET que je n’ai pas de culture générale convenable. Mais ce n’est pas grave puisque le mini-jeu est rejouable avec exactement les mêmes questions dans le même ordre…

QCM QCM avec images

Allez, je laisse sa chance à un dernier mini-jeu : « Maquille ta miss ». Je m’attendais là encore (oui, je suis naïve parfois) à un mini-jeu demandant de maquiller avec précision sa Miss. Passons sur le fait qu’il faille la maquiller comme un camion volé, le jeu demande juste de passer avec le stylet sur les zones vides de couleur : on peut même déborder, ça n’a aucune incidence !

Jeu de maquillage, écran de lancement Mini-jeu "maquillage"

40 minutes que je joue, je clique sur le mini-jeu du défilé et retombe sur …. oui, le même mini-jeu de rythme qui nous avait tant manqué ! Désolée, mais je n’ai pas voulu aller plus loin. Je déclare ce jeu « Vitrine de la Honte approuvée » et vous le recommande chaudement pour offrir à des nièces/cousines/enfant d’amis que vous n’aimez pas, histoire de pouvoir voir une console avec un stylet planté dans l’écran tactile. 😉

Nintendogs + Cats

Quand Clément a ramené une 3DS, je n’étais pas franchement ravie. C’est  pour cela qu’il m’a acheté en me tendant LE jeu qui m’aurait fait craquer pour cette console gadget : Nintendogs + Cats !

 

Etant déjà l’heureuse possesseur de 3 adorables chiens sur la version précédente, j’étais bien placée pour savoir que ces boules de poil virtuelles sont terriblement attachantes. Et ça n’a pas changé : lorsque le chiot que vous avez choisi vous regarde avec ses gros yeux larmoyants, ses petites papattes sur l’écran, quasiment personne ne peut s’empêcher de s’exclamer sur un ton gâteux : « il est mignon, le toutou, oh il est mignon ! ». C’est donc sans surprise que je me retrouve au bout de 2 semaines avec un cavalier King Charles, un bouledogue français et un chat femelle persan répondant au doux nom de Sheldon, Léonard et penny (toute ressemblance avec des personnages de série est purement fortuite 😉 ).

 

Cette nouvelle version n’apporte pas grand chose par rapport à l’ancienne : le but du jeu est toujours de s’occuper au mieux de son animal, de le promener pour le faire interagir avec d’autres animaux, de l’entrainer pour qu’il gagne les compétitions et ramène ainsi l’argent nécessaire à ses frais d’entretien ainsi qu’à la décoration  de la maison. Un tamagotchi amélioré, en gros.

 

Points positifs :
– L’effet relief est très bien fait et vous donne vraiment l’impression que votre animal va sauter hors de la console, même si vous aurez vite tendance à le désactiver lorsque vous jouez plus d’un quart d’heure.
– Les graphismes sont encore améliorés par rapport à la précédente version, la fourrure et les yeux sont de plus en plus réalistes, renforçant l’attachement du joueur et donc l’intérêt pour le jeu. De même, les décors de la maison sont beaucoup plus beaux.
– La promenade de votre chien s’est enrichie : finie la ballade dans des rues désertes au milieu d’un brouillard perpétuel et les décors qui changent brusquement. Maintenant vous avez accès à 3 univers : la ville, la montagne et la plage tous accessibles facilement. Des Mii discutent et se baladent sur les trottoirs, les chiots et leurs propriétaires se rencontrent sur la route sur laquelle se baladent moineaux dans la journée, lucioles la nuit (mon jeu préféré étant de laisser mon chiot foncer sur eux). Au stade d’entrainement s’ajoute un parc et des boutiques pour chaque univers ainsi qu’un café où emmener son chiot déguster des gateaux et jouer avec le chiot d’autre propriétaire ou le chat de l’établissement. Inutile de vous dire qu’une promenade peut donc durer très longtemps…
– La commande vocale réagit plutôt bien tant que vous faites attention à bien prendre le même ton que celui que vous aviez lorsque vous avez enregistré l’ordre ou le prénom d’un animal. Je n’ai pas essayé mais je pense qu’il est possible d’appeler son chien avec un ton colérique et énervé et de le voir arriver tout heureux en remuant la queue. XD
– Dans les grandes nouveautés du titre se trouve l’apparition des chats. Seules 3 races sont disponibles par cartouche et la plupart des chats ont été crééé sur le même modèle, la seule différence étant le nombre de poils entre un européen et un persan. Niveau graphisme, ils sont tout aussi adorables que les chiens avec lesquels ils s’entendront souvent moyennement (attendez-vous à les entendre feuler de temps à autres). Malheureusement, ils sont TRES ressemblants à de vrais chats : les seules interactions que vous pouvez avoir avec eux est de les habiller, les toiletter, jouer un peu et les nourrir. Point de concours de beauté, de promenade ou d’apprentissage : ce sont juste des peluches vivantes. Il aurait été sympathique de pouvoir faire avec eux d’autres activités.

 

Points négatifs :
– Le chien ne reconnait toujours pas le ton général de la voix. Que vous le grondiez ou que vous lui parliez sur un ton mielleux ne fait aucune différence pour lui.
– Quelques problèmes de collision demeurent. Les effets du type « frisbee qui traverse le plancher » ou le collier ou la laisse qui passe à travers votre chiot (brrrr…) reviennent quelquefois.
– La gestion au stylet n’est pas toujours optimable : donner une friandise à votre chien pour le féliciter de ne pas avoir foncé dans la flaque d’eau ou ne pas avoir mangé les poubelles se révèle souvent problématique. Je dois souvent m’y prendre une bonne dizaine de fois avant qu’il ne se décide à la manger et que nous puissions continuer la promenade. Après, peut-être que je m’y prend mal.
– Enfin, j’ai pour le moment obtenu beaucoup de races de chiens mais pas encore toutes celles disponibles toutes cartouches confondues, j’espère donc qu’elles deviennent disponibles au fur et à mesure qu’on acquiert de l’expérience avec son chiot.

 

Note : Je n’ai pas pu tester le Street Pass pour le moment.